Lorsqu’en juillet 2013, nous embarquions à bord du vol Educ’Action, nous n’avions dans nos valises que notre savoir-faire, notre passion et notre engagement à impacter le secteur de l’éducation au Bénin et en Afrique. Nous avions l’intime conviction que ce monde sans cesse mouvant, changeant plutôt et plus rapidement en mal qu’en bien, ne pouvait être transformé que par la magie de l’éducation et de la formation. Avec nos maigres moyens et le cœur à l’ouvrage, nous nous sommes mis au travail. Avec abnégation, foi et détermination, nous avons surmonté et continuons de surmonter les nombreux obstacles visibles et invisibles dressés sur nos chemins. Nous sommes restés unis, toujours attachés à nos valeurs d’excellence, de travail bien fait, de qualité, de loyauté et de professionnalisme. L’ampleur de la tâche est si grande qu’à des moments donnés, nous nous questionnons sur nos stratégies de mobilisations de ressources. Nous nous demandons très souvent comment faire pour tenir le pari et ne pas décevoir tous ces acteurs qui ont soif de l’information crédible et vraie, qui veulent être éclairés pour faire les meilleurs choix. Mais la vérité est là, têtue, que la vie est un combat au quotidien. Et sans découragement, avec la foi et surtout la flamme de l’espoir allumée, nous poursuivons notre route dans la pénombre des incertitudes mais avec la conviction que le jour se lève bientôt. Notre objectif n’a pas changé : « éduquer par l’action pour changer le monde ». Et nous sommes très heureux de vous savoir nombreux, séduits par notre vision qui devient du coup, une vision commune et partagée. Nous avons une satisfaction morale, puisqu’en dépit de nos imperfections, vous aimez, comme l’expriment si bien vos diverses impressions, le journal Educ’Action. Vos nombreux témoignages que nous n’avons d’ailleurs pas pu publier intégralement, restent la preuve tangible de votre attachement au concept Educ’Action. Ce 100ème numéro marque un tournant décisif dans la conduite de notre projet. De nouveaux plans sont concoctés pour un impact plus grand, plus visible et plus innovant. Ils nécessitent certes beaucoup de moyens mais nous savons que seules les idées génèrent les ressources et donc nous y arriverons pour qu’enfin, nos sociétés humaines s’humanisent davantage pour conduire l’homme vers un développement qui le valorise et préserve l’héritage du futur. Ad multos annos !
Partenaires et lecteurs de Educ’Action apprécient les 100 semaines de dévouement
Abdel Ramahane Baba-Moussa , Secrétaire Technique Permanent du Pddse
« Le papier est de qualité, les articles sont bien écrits, les analyses pertinentes »
«Educ’Action, je l’apprécie beaucoup en tant que spécialiste de l’éducation. Beaucoup de journaux sont intéressés par la vie politique qui se vend bien et parfois, on laisse de côté les enjeux les plus importants pour le développement du pays. Les enjeux comme l’éducation. Je crois que Educ’Action, en se spécialisant dans ce secteur, vient combler un vide. C’est un journal qui paraît régulièrement, qui est en ligne et doublé d’un site dynamique sur lequel on peut voir et lire beaucoup d’informations. Je decerne un satisfécit pour l’effort qui est fait pour paraître aussi régulièrement avec un support de qualité par rapport à ce qu’on a généralement dans la presse écrite. Le papier est de qualité, les articles sont bien écrits, les analyses me paraissent pertinentes, les personnes ressources qui sont ciblées pour des interviews sont aussi bien choisies. Pour moi, c’est un très bon travail et un très bon journal. Nous pensons, peut-être, qu’il faudra multiplier ou renforcer les partenariats plus directs avec les structures de l’éducation pour cibler les activités à fort impact sur lesquelles, il faudra informer le grand public. Pour moi, mon appréciation est globalement positive. C’est vrai que je le reçois mais je le vois très peu dans les kiosques et c’est le prochain défi à relever. Peut-être qu’il faudra faire un travail de diffusion auprès du grand public. Parce qu’effectivement, tout le monde n’a pas accès à Internet. »
Mohamed Aboubakari , DPP/Memp
« Mention Bien pour Educ’Action »
«Je voudrais dire dans un premier temps que c’est une initiative assez noble d’avoir un journal qui est entièrement spécialisé dans les questions de l’éducation, un journal qui fait de l’investigation dans plusieurs domaines du secteur de l’éducation, un journal qui est présent aux grands rendez-vous du secteur de l’éducation pour avoir l’information factuelle, réelle et vraie et pour ensuite nous titiller par rapport à certain nombre de constats qui sont faits et qui nous permettent, nous qui sommes des techniciens de l’éducation, qui aidons les autorités dans la prise de décisions, à nous ajuster et à faire les meilleurs choix. Donc moi, je commencerai par dire longue vie à Educ’Action, qu’il puisse continuer à améliorer ses prestations, qu’il puisse se rapprocher, de plus en plus, des acteurs et qu’il prenne vraiment leurs impressions et qu’il puisse nous aider à nous questionner sur les niveaux de mise œuvre de nos politiques, de nos plans d’action, de nos plans stratégiques. Donc, s’il y a un niveau de satisfaction à exprimer, moi je pourrai dire que c’est mention BIEN pour Educ’Action et que la mention pourrait être honorable si les éléments à savoir : primo se rapprocher des acteurs pour avoir leur point de vue, certes ça se fait mais il faut le faire davantage ; secundo faire davantage le ‘’Contrôle citoyen’’ en interpellant sur les grandes questions qui engagent la vie du système éducatif. Ce sera une contribution en tant que citoyen béninois à une certaine convergence vers l’atteinte de nos résultats. Nous savons que les ressources humaines et matérielles ne font pas le développement. C’est l’homme qui les transforme en moyens pour accéder au développement. Et cet homme, c’est celui-là qui a les capacités intellectuelles, morales et physiques pour impulser le développement de la nation. Et ces capacités, on ne les acquiert qu’à l’école, que dans le cadre de l’éducation et de la formation de l’homme. Longue vie à Educ’Action ».
Ousmane Alédji , Directeur intérimaire du Fitheb
« Le fait déjà de vous démarquer en choisissant un secteur dans lequel vous persévérer, vous en devenez presque un spécialiste pour ne pas dire un expert »
«C’est un exploit qui mérite des félicitations, qui mérite qu’on loue la bravoure, l’entêtement et la témérité de toute l’équipe de votre journal. Témérité parce que les risques sont déjà connus quand on installe une entreprise de presse dite généraliste. Quand c’est une entreprise de presse qui s’occupe de sujets spécifiques notamment lié à l’éducation, c’est encore une prise de risques considérables, surtout dans le contexte béninois où le lectorat n’est pas très développé. Les gens sont plus scotchés à des télénovélas, des feuilletons toxiques dont on nous abreuve tous les jours. Donc cela m’inspire de l’admiration pour vous et je vous félicite. Le fait déjà de vous démarquer en choisissant un secteur dans lequel vous persévérer, vous en devenez presque un spécialiste pour ne pas dire un expert. C’est déjà fort louable. Si j’ai un conseil à vous donner, c’est de garder la ligne intacte, de ne pas virer parce que nous savons que les tentations sont grandes, vue qu’on aborde aussi bientôt les échéances présidentielles où tous les journalistes veulent être des journalistes politiques, parce qu’on sait très bien que c’est un terrain fertile par ces temps-ci. Ne déviez pas parce qu’il me semble que votre journal ouvre quelques unes de ses pages à la culture, à l’art, mais pas aux polémiques. Je demanderais un peu plus le sens de l’engagement. Parce que ce qui manque plus généralement, c’est les prises de risques sur les points de vue, sur les engagements du journaliste. Je pense que vous avez beaucoup de mérites et c’est maintenant le moment de s’arrêter sur vos mérites et je vous félicite vraiment parce que vous apportez beaucoup au système éducatif béninois. Ce n’est pas de votre faute si on est dans un contexte clochardisant où on clochardise tout facilement et banalement. Donc Bravo ! Bravo ! Bravo ! Et que nos âges voient des milliers de numéros à venir. »
Jérôme-Michel Tossavi , Médiathèque de l’Institut Français du Bénin
« Je pense que le journal Educ’Action à travers ses publications, constitue un éveilleur de conscience »
«C’est un travail formidable vue la thématique et la ligne éditoriale que s’est assigné ce journal : Educ’Action. Nous ne pouvons rien faire dans une société exempte de tout soupçon du point de vue éducation. Et donc, ce journal fait son bonhomme de chemin en variant surtout les rubriques, le contenu des articles qu’il nous proposent. C’est vraiment salutaire et le lectorat que nous constituons, même si on n’est pas aussi volumineux, nous nous retrouvons par rapport aux articles proposés dans ce journal. Notamment les interviews, les enquêtes, les sujets d’actualités liés parfois à la sexualité qui accrochent aussi bien les adolescents que les adultes parce qu’aujourd’hui, la question du sexe n’est plus un sujet tabou et il faut véritablement expliquer ses contours aux jeunes. Donc je pense que le journal Educ’Action à travers ses publications, constitue un éveilleur de conscience. Je pense qu’à ce 100ème numéro, nous attendons encore des milliers d’autres numéros pour forger notre esprit parce qu’il faut l’avouer, notre société est en déperdition et véritablement, on a besoin de ses canaux d’information pour se mirer. Donc, je tire chapeau à toute l’équipe du journal Educ’Action. Je dis également courage parce que ce n’est pas facile le métier de journalisme, vu les contraintes et les aléas liés à tout cela. Donc, à cette équipe et à sa direction, je souhaite ‘‘Happy Birthday’’ et encore du chemin à vous. Mes suggestions seront de vous exhorter à être beaucoup plus audacieux dans le travail d’investigation et d’aller encore plus loin, en nous proposant des thématiques plus alléchantes et plus sensibles à nos émotions. Il ne faut pas jouer à l’hypocrisie dans le traitement des sujets. Il faut aussi ajouter les couleurs et plus d’attractivité parce que quand c’est agréable aux yeux, on a aussi du plaisir à toujours lire. »
Salamatou Adam Amadou , Conseillère au Programme en Education à BORNEfonden Bénin
« Educ’Action est un journal bien élaboré »
«J’ai toujours lu les journaux que vous envoyez. Je pense que les termes sont souvent bien choisis. C’est un journal qui est d’ailleurs bien élaboré. Et nous pensons que si cela peut continuer de la sorte, alors ce serait bien parce que cela nous permet de nous informer sur tout ce qui se passe dans le domaine de l’éducation. Ce que vous faites est déjà bon. Mais pour les parutions prochaines, je voudrais que vous demandiez beaucoup plus aussi l’avis des autres acteurs sur le terrain. Je prends, par exemple, les parents d’élèves, les écoliers et élèves. Si vous prenez en compte tous les autres acteurs qui constituent les acteurs principaux de l’éducation, ce sera très bien parce que tous les journaux que j’ai lus jusque-là, je ne vois pas encore, je ne sais pas si c’est moi qui voit ça, mais je ne vois pas encore les thèmes où les enfants, les écoliers, les parents d’élèves ont été vraiment interrogés par rapport à certaines préoccupations. »
Bruno Gbèhinto , Directeur Adjoint de la Famille de l’Enfance et de l’Adolescence au Ministère de la Famille, des Affaires Sociales, de la Solidarité Nationale, des Handicapés et des Personnes de Troisième Age – Mfassnhpta
« Educ’Action est un journal qui a une grande diversité »
«Oui effectivement, je peux oser dire que je connais le journal Educ’Action qui est presque un partenaire de ma structure. C’est un journal qui a une grande diversité dans ses propositions très enrichissantes. Egalement, les autres réflexions qui sont toujours collées à l’éducation, mais diversifiées et qui vont de la culture à la connaissance, voire même des réflexions suffisamment universitaires. J’apprécie les contenus que le journal propose et je l’encourage. Nous avons dit que Educ’Action, c’est pour booster le professionnalisme, c’est votre mot d’ordre. Je crois que la ligne directrice est bonne. Et comme un journal doit survivre, on peut intégrer les éléments qui sont proposés aux élèves, c’est-à-dire ouvrir une page qui sera rédigée dans un français un peu plus simple, les articles qui peuvent accrocher les élèves. J’ai toujours dit que lorsqu’on fait œuvre utile dans un tel domaine, il faut impliquer toutes les parties prenantes. Je serais fier de voir dans les établissements que les élèves sont ravis de fouiller aussi les pages de vos journaux. On peut vous proposer de faire des pages pour jeunesse pour un peu les attirer. Nous sommes dans l’éducation, les jeunes adorent tout ce qui est whatsapp etc. Je suis sûr que si vous écrivez des articles sur l’utilisation de ces choses-là dans le domaine scolaire pour que cela ne soit pas seulement pour jouer ou envoyer des texto entre amis, ils seront intéressés. On peut voir le côté éducatif de ces choses-là.»
Ernestine Dénami , Directrice Nationale d’Educo-Bénin
« C’est une équipe jeune, vraiment dynamique et moi je vous souhaite, bon vent »
«Educ’Action est un journal qui nous donne des informations sur le système éducatif. C’est un hebdomadaire et cela nous permet d’avoir une vue globale sur ce qui se passe. Ce que j’ai vu dans Educ’Action est que les nouvelles sont rapportées à temps. En ce qui concerne l’équipe d’Educ’Action, elle n’est pas seulement à Cotonou, elle est un peu partout à la chasse de l’information sur l’éducation dans le Bénin. Donc, cela nous permet de nous mettre au parfum de ce qui se passe, voire les tables rondes des partenaires, des revues, toute information dans le domaine de l’éducation. C’est une équipe jeune, vraiment dynamique et moi, je vous souhaite bon vent et que vous vous améliorez pour que ce journal puisse s’imposer et puisse être reconnu par les autorités de l’éducation, pour qu’il fasse son chemin comme cela se doit. Pour nous, il n’y a pas d’œuvre humaine parfaite, mais à vrai dire je ne reproche pas vraiment quelque chose à Educ’Action. Ce que nous, allons peut-être, demander est l’actualité qui est toujours là et qui est relayée. Maintenant, il nous faut une rubrique pour faire la critique approfondie du laisser-aller ou bien juste des affaires importantes qui ne sont pas prises en compte et qui ont des retombées négatives sur l’éducation et le système en général. Pour finir, je crois que nous sommes dans un pays où nous avons beaucoup de problèmes dans la gestion de l’éducation. Nous parlons de l’éducation formelle et de l’éducation informelle, nous parlons aussi de l’éducation de l’enfant par les parents. Mais lorsque l’enfant sort de la maison pour aller à l’école, il y a un minimum de conditions qui doivent être remplies de part et d’autre : je veux parler d’un enseignant bien formé qui sait de quoi il parle, je veux parler d’un effectif accessible à cet enseignant-là qui va lui permettre de transmettre le savoir. Il y a assez de problèmes et ce serait bien qu’Educ’Action prenne hebdomadairement ou peut-être une fois le mois, un pan de ces questions-là sur lesquelles on vient de discuter et les analyser à fond. Nous savons que les recommandations dans ce pays sont toujours laissées au placard. L’Etat étant le garant de droit, dans ce système d’éducation et peut-être que nous aurons un jour gain de cause, je souhaiterais lire dans les prochaines parutions, une comparaison de notre système avec celle de la sous-région, non pas pour voir seulement la note que nous obtenons, mais pour voir aussi nos conditions de travail, nos systèmes, qu’est-ce qui est différent, qu’est-ce qui est meilleur et quels sont les pays qui gèrent mieux l’éducation que le Bénin. »
Denise Grimaud , Sociologue ex Directrice Adjointe de la Promotion de la Scolarisation au MEMP
« Quelles que soient les difficultés de l’heure, je vous demande de ne pas baisser les bras et de poursuivre cette œuvre »
«Je reçois depuis quelques temps déjà vos parutions dans ma boîte et j’ai du plaisir à parcourir les différentes rubriques. Je suis à la retraite depuis un an et cela me permet de m’informer sur ce qui se passe dans le secteur de l’éducation. Franchement, je trouve que vous faites un travail formidable et je vous en félicite vivement. Je vous encourage à continuer sur cette lancée. En voyant la qualité du produit qui se présente d’ailleurs en couleur dans la version numérique, ce qui le rend encore plus attrayant, je me suis maintes fois posée la question de la disponibilité des moyens qui accompagnent. Quelles que soient les difficultés de l’heure, je vous demande de ne pas baisser les bras et de poursuivre cette œuvre qui d’ici là, je n’en doute point, sera une référence. Bon courage à vous. »
Sylvie Adoté Hounzangbé , Directrice Nationale de la Recherche Scientifique et Technologique et Recteur de l’Université de Lokossa
« Educ’Action, c’est le journal qui nous manquait »
«C’est le journal qui nous manquait, un journal thématique est très important aujourd’hui. Il nous permet de nous informer sur un secteur très sensible qu’est l’éducation. Aussi, j’aime bien l’équipe jeune dynamique de Educ’Action. Quand je vois Educ’Action, je vois toute l’équipe et c’est déjà d’un air très positif. Je voudrais que vous abordiez les sujets d’actualité dans le domaine et une analyse approfondie du système de l’éducation. Donc comment faire pour que notre système éducatif soit plus performant ? Les analyses bien élaborées, les analyses bien approfondies par les spécialistes »
Maxime Da Cruz , Professeur de Linguistique, 1er Vice-recteur chargé des Affaires Académiques et de la Recherche Universitaire de l’UAC
« Il faut faire l’effort de disposer du répertoire des spécialistes dans différents domaines de l’éducation »
«Je crois que c’est une excellente idée et je vous en félicite. Excellente idée d’avoir cru nécessaire et d’avoir créé un journal qui porte ce nom-là qui s’occupe des questions relatives à l’éducation. Je crois que cela fait votre originalité, cela sort des sentiers battus. Le contenu du journal porte cette marque-là. On se rend compte que vous touchez des spécialistes qui donnent leur point de vue sur un certain nombre de questions liées à notre système éducatif et à l’éducation en général. J’ai eu l’occasion d’apprécier la qualité des analyses faites par les spécialistes. Globalement, c’est bon de ce point de vue-là. Il faut reconnaître que c’est un journal jeune avec des animateurs très jeunes. Moi, je vous souhaite beaucoup de succès. Pour justement aller dans le sens du succès, il faut nécessairement déjà faire l’effort de disposer du répertoire des spécialistes dans différents domaines de l’éducation parce que parfois, le choix de l’interlocuteur ou de la personne qui viendra se prononcer sur un tel ou tel sujet peut donner des contours « normaux», des contours recevables ou moins recevables à l’analyse qui est proposée. Je crois que de ce point de vue, il y a un bon travail qui se fait mais surtout en ayant un répertoire de gens qui peuvent intervenir, de gens que l’on touche à temps, de spécialistes de bonne volonté de la personne interrogée sur le temps qu’il fait. Cela dit ce qui se fait est déjà très appréciable et moi je vous encourage et je vous félicite et je vous souhaite davantage de succès.»
Raymond Vodounou , Directeur de Programme du Village d’Enfants SOS d’Abomey-Calavi
« J’ai trouvé que c’était une bonne initiative d’avoir ce journal-là qui spécifiquement aborde les questions de l’éducation »
«Je pense que ça fait quand même au moins un an que je lis votre journal. Personnellement, j’ai trouvé que c’était une bonne initiative d’avoir ce journal-là qui spécifiquement aborde les questions de l’éducation. Mes impressions sont très bonnes. Cependant, c’est presque une doléance. J’aurais vraiment aimé que vous alliez un peu plus vers notre université qui est un haut lieu de savoir afin de nous tenir informés de ce qui s’y passe en ce qui concerne le travail académique : comment est-ce que cela se fait. C’est vrai que c’est très heureux de voir à la télévision que l’université d’Abomey-Calavi est honorée avec des trophées. Mais, moi, personnellement quand je me rapproche des étudiants à l’occasion ou des amis qui y ont inscrit leurs enfants, je me demande sur quoi les gens se basent pour attribuer ces prix-là, par exemple. Pour moi c’est évident que les étudiants étudient dans des conditions pas très agréables. Les professeurs ne sont pas réguliers, il semble que tout le monde s’habitue à la chose. Même le programme qui est fait n’est pas suivi. Parfois c’est moins d’une heure avant le cours que les étudiants reçoivent l’information qu’ils ont cours à partir de telle heure. Sincèrement je ne sais pas ce qui s’y passe et j’aurais souhaité que vous fassiez des investigations dans ce sens afin de nous permettre à nous qui sommes vos lecteurs de voir un peu clair là-dedans. Joyeux anniversaire et puis beaucoup de courage et de persévérance dans votre travail. »
Albert Djidohokpin , Coordonateur de Programmes à SOS Villages d’Enfants – Bénin
« Si les prochaines parutions peuvent aborder les domaines liés aux opportunités de bourses pour les jeunes, les opportunités de bourses au plan national et comme au plan international, ce sera intéressant »
«Je pense que Educ’Action est un journal qui vient à point nommé. C’est pratiquement le seul journal qui soit spécialisé dans les sujets d’ordre éducationnel au Bénin. Je pense que c’est un journal qui a de l’avenir et qui fait des merveilles en termes de développement dans le domaine de l’éducation au Bénin. Je pense que c’est un journal qui a connu une certaine évolution en ces derniers temps. Donc par semaine nous avons déjà une idée sur ce qui s’est passé sur l’éducation. C’est également un journal qui aborde les sujets très intéressants pour l’éducation des enfants. Quand je dis enfants je parle également de la scolarisation des filles. C’est très important. Je pense que ce journal va s’améliorer davantage pour le développement harmonieux du Bénin sur le plan de l’éducation. Si les prochaines parutions peuvent aborder les domaines liés aux opportunités de bourses pour les jeunes, au plan national comme au plan international, ce sera intéressant. Et si Educ’Action peut faire un grand dossier sur ces aspects, ce sera bien parce qu’aujourd’hui à notre niveau ici nous supportons les enfants jusqu’en classe de terminale. Après le baccalauréat, nous n’avons pas les ressources pour les envoyer à l’université pour suivre les formations universitaires. Si Educ’Action peut faire une grande enquête sur les différents types de bourses par niveau, par secteur, par filières, ce sera bon pour la jeunesse et pour les enfants en général du Bénin. »
Agboessi Cloubou , UNMISS – UNDSS Juba, South Sudan Chief Security Information and Operations Center (SIOC)
« Gardez toujours la flamme de l’espoir allumée »
«Une fois encore, c’est avec plaisir que j’ai pris connaissance du contenu de votre hebdomadaire. Les différents thèmes traités serviront, progressivement et sûrement, à l’éveil de conscience, je voudrais dire, au « déblocage» du subconscient des Africains. C’est l’enjeu à contenir ; c’est le défi à relever; c’est l’objectif à atteindre.
Nous Africains, devons comprendre que l’heure a sonné pour l’audace et l’ambition; les barrières inculquées dans notre mental suite à la colonisation sont tombées depuis des années. Chers amis Afro optimistes, je voudrais vous soutenir dans votre désir de répandre le pollen du Bonheur et de l’Espérance et surtout avec votre slogan «Garde toujours allumée la flamme de l’espoir». Nous devons commencer à nous valoriser. C’est possible. Nous pouvons le faire. Nous devons le faire. Bon vent à Educ’Action »
Dazogbo Tchognon , Coordonateur des opérations de Programme à BORNEfonden Bénin
« J’encourage le journal à continuer de travailler et à rechercher les vrais acteurs qui pourraient impacter positivement son action »
«En tant que spécialiste de l’éducation, j’ai beaucoup apprécié le journal Educ’Action qui se focalise essentiellement sur les problèmes actuels, les problèmes au jour le jour. Ça nous permet d’avoir la situation du secteur de façon très régulière. Depuis que j’ai commencé par recevoir les numéros d’Educ’Action, je me suis rendu compte que c’est une autre façon de gérer les problèmes en termes d’informations parce qu’il y a ce que nous qui sommes dans les bureaux pensons, il y a aussi ce que les autres pensent du secteur avec toute une diversité. C’est ce que j’ai apprécié et pas plus tard que la semaine dernière l’avant dernier numéro qui traite des corrigés-types du Bepc, c’est très intéressant. Ceci dit, je pense que couvrir le secteur et les problèmes du secteur de l’éducation, il y a tellement d’acteurs qu’il va falloir contacter aussi au maximum. Je ne sais pas comment Educ’Action essaiera de le faire. Le monde le plus sensible ; le monde le plus à impacter est celui des enseignants mais surtout les parents d’élèves. Pour pouvoir être beaucoup efficace dans le secteur de l’éducation, il faut travailler aussi sur la société civile, la politique et la décentralisation. Mais je crois en l’effet de la société civile car c’est elle qui va décrier les questions d’équité, les grèves intempestives, le temps scolaire non respecté au regard des résultats scolaires aujourd’hui. Je suis d’accord qu’on incrimine les enfants mais ils n’en sont pour rien. Ils subissent le secteur. Et à force de subir le secteur, il faut en arriver au fait qu’ils aient de relais de proximité. Les enseignants qui ne travaillent pas, les enseignants qui au lieu de travailler avec les enfants préfèrent faire des cahiers d’activité, préfèrent les coûts de répétition à gros frais non supportables par les familles à revenus limités. Ils exigent que les mêmes enfants puissent retourner de l’examen avec de bons résultats. Les problèmes du secteur de l’éducation sont immenses, moi j’encourage le journal à continuer de travailler et à rechercher les vrais acteurs qui pourraient impacter positivement son action. Voilà un peu mon point de vue. Une fois encore je vous remercie pour l’initiative. »
Christine Gnimagnon Adjahi , Conteuse écrivain, organisatrice de festival de contes
« Continuez surtout et gardez votre indépendance ton et d’esprit »
«J’apprécie toujours autant l’hebdomadaire Educ’Action et vous remercie de me faire partager la joie d’être informée de ce qui se passe dans mon pays dont je suis éloignée par la force des choses; j’apprécie particulièrement ce dernier numéro parce qu’un sujet qui me touche particulièrement y a été abordé : la Culture et son apport au développement. Je suis du monde culturel et vous connaissez mon engagement pour la valorisation de notre tradition orale; je souscrits entièrement aux propos de M. Donouvossi sur la gestion de notre Ministère de la Culture; c’est vrai que la culture est reléguée au second voire troisième plan par nos dirigeants et c’est regrettable. Quand bien même vous avez un projet culturel et un dossier complet, si vous n’avez pas les «bras longs» votre demande est classée ou perdue! Il faudra vraiment un travail approfondi sur l’importance de la Culture et permettre aux acteurs et artistes qui ne demandent qu’à exprimer leurs talents et leur contribution à la formation du jeune de pouvoir montrer au public ce qu’ils savent faire en ayant les moyens de leurs actions. Voila le peu que je peux dire sur ce contenu qui m’a ravi. Quant au journal lui-même c’est un rendez-vous hebdomadaire d’information et de formation sur les grands problèmes qui touchent notre pays. Continuez surtout et gardez votre indépendance de ton et d’esprit. A bientôt et du courage pour vous et pour toute l’équipe d’Educ’Action. »
Mme Florentine Akouété-Hounsinou , Ph.D. Sciences de l’Education, Enseignant-Chercheur à l’UAC, Consultante en Education
« Que le Tout-Puissant vous assiste et vous inspire continuellement pour le bonheur de tous les acteurs de l’éducation »
«100 ème numéro d’informations sur la terre des hommes, constitue un capital précieux à sauvegarder et à encourager. Votre dévouement quotidien sied parfaitement à la noble mission que vous vous êtes assignée avec beaucoup de professionnalisme au bénéfice de l’Education béninoise. Que le Tout-Puissant vous assiste et vous inspire continuellement pour le bonheur de tous les acteurs de l’éducation que nous sommes. Le monde de l’Education vous en remercie infiniment. Bravo à toute la Rédaction pour ce 100ème numéro ! »
Clarisse Napporn , spécialiste des questions d’éducation, enseignante-chercheur à la FLASH, département de psychologie et des sciences de l’éducation
« Bravo pour le 100è et les autres numéros »
«Merci de toujours nous mettre au courant de l’actualité éducative. Je viens de parcourir le 99è n°. Bravo pour le 100è et les autres numéros.
Puisse le cosmique aider toute l’Equipe à continuer. Bien cordialement »
Espérance Obonte , DARH
« Je souhaite que vous trouviez des contrats avec les ministères de l’éducation »
«Congratulations : Merci de toujours nous donner des infos sur l’éducation toutes les semaines. C’est un travail louable que vous menez et je souhaite que vous évoluiez plus dans votre rédaction et que vous trouvez des contrats avec les ministères de l’éducation pour mieux renseigner et informer tous les usagers. Bon courage.
Amoussa Abd-El Whahab , chargé de Programme éducation et formation professionnelle au Bureau de la Coopération Suisse
« Vous n’arrivez pas encore à faire des investigations en ce qui concerne la gestion du secteur »
«Le bureau de la Coopération Suisse reçoit effectivement le journal Educ’Action. Comme avis je pense que c’est un journal qui est bien écrit où vous essayez de vous coller à l’actualité. On a beaucoup d’informations, je pense que c’est très positif pour un secteur qui brasse beaucoup de moyens que ce soit en personnel, en matériels ou en ressources financières. Vous savez que les enseignants constituent le plus gros volume de la fonction publique et donc parler de ce corps subdivisé en quatre sous-secteurs, je pense que c’est un élément assez important pour y consacrer un journal. Pour cela et pour la thématique, vous êtes à féliciter. Pour la recherche documentaire, je pense aussi que c’est bon. Peut-être la seule critique, pour le moment, c’est la ligne éditoriale. Vous n’arrivez pas encore à faire des investigations en ce qui concerne la gestion du secteur. La gestion multidimensionnelle c’est-à-dire la gestion des ressources humaines, la gestion des ressources financières parce que beaucoup d’argent vont dans le secteur mais on ne voit pas, on ne sent pas qu’il y a beaucoup d’argent dans le secteur. Il y a également beaucoup de monde dans le secteur, mais on a l’impression qu’il y a des zones totalement déshéritées et dans le même temps il y a de zones surpeuplées. Je pense qu’il faut faire aussi des investigations en dehors des reportages d’événements qui se sont déroulés dans le secteur. »
Blaise Tchétchao , Directeur du Fonds d’Aide à la Culture
« Les articles sont intéressants et c’est bien pour le développement de notre pays.»
«Je voudrais d’abord commencer par féliciter le promoteur de l’hebdomadaire Educ’Action. Son nom indique pratiquement le contenu qui est spécialement éducatif. Même si des sujets relatifs à la culture sont également abordés dans le journal, cela a toujours rapport à l’éducation. Les articles sont intéressants et c’est bien pour le développement de notre pays. C’est déjà une bonne chose. Comme on le dit souvent, nous ne pouvons que nous baser sur notre culture pour nous développer. Alors là, toute éducation commence par la culture. Vous allez en Chine, la manière dont les gens grandissent, c’est suivant leur culture. Vous venez au Bénin, c’est à partir de notre culture que nous grandissons, que nous nous développons et nous nous épanouissons. Donc, c’est pour cela que j’apprécie bien cette initiative, Educ’Action qui est à son 100ème numéro. C’est vrai qu’on connait à peu près les problèmes des médias au Bénin, mais il faut continuer et persévérer dans votre travail. C’est pour vous exhorter à continuer par bosser, vous remettre chaque fois en cause pour pouvoir aller de l’avant…»
Albert Adagbé , Directeur de Cabinet du Ministère des Enseignements Maternel et Primaire
« Educ’Action est venu révolutionner le système éducatif »
«Le journal Educ’Action est venu révolutionner le système éducatif par les informations crédibles qu’il publie sur le secteur. Tout ce que nous faisons aujourd’hui, nous sommes relayés au plan national et international parce que Educ’Action est un journal en ligne et qui nous permet, n’importe où nous sommes connectés, d’avoir des informations sur le système éducatif. Je crois que ça, c’est à saluer parce que les acteurs que nous sommes, avons aussi besoin de l’éclairage des journalistes pour que ce que nous faisons, soit relayé. Si ce n’est pas relayé, le bas peuple ou les bénéficiaires ne peuvent pas savoir tout ce qu’on pense d’eux, toutes les stratégies que nous mettons en place. Je pense que Educ’Action est souvent présent à toutes les réunions, foras que nous organisons dans le système éducatif et relaie les informations. Maintenant, ce qu’il faut faire davantage au niveau de Educ’Action, ce sont des analyses plus approfondies sur les divers aspects de la vie de notre système éducatif. »
Stefano Komla Amekoudi , Directeur du campus numérique francophone de Cotonou
« C’est une initiative très louable d’avoir un hebdomadaire qui traite des questions de l’éducation »
«Je dois de prime abord dire que je n’ai pas le recul nécessaire. 100 numéros, je n’en ai vu que deux ou trois en réalité. J’ai connu ce journal à travers un atelier qu’a organisé l’Unesco à l’intention des établissements d’enseignement supérieur auquel j’ai participé en tant que personne ressource. Et j’ai donc reçu à la suite de l’atelier le numéro. C’était le numéro 91 qui présentait un petit reportage sur l’atelier. J’ai en effet vu également les deux derniers numéros, je dois d’abord avant de porter toute critique dire que c’est une initiative très louable d’avoir un hebdomadaire qui traite des questions de l’éducation. Je me rappelle une anecdote, une sœur et amie journaliste qui devrait se spécialiser sur les différentes thématiques et qui m’a même demandé à l’époque si la question de l’éducation faisait une question qui avait de la matière. Et je lui disais à l’époque que beaucoup de journalistes n’abordent pas cette question. Ils pensent à la politique, à l’économie parce que c’est vendeur. Mais la question de l’éducation est fondamentale. Fondamentale pour s’occuper. Avoir un hebdomadaire qui ne traite que de ces questions avec la culture est quelque chose de très louable. C’est là où j’insiste sur le fait que je n’ai pas assez de recul. Pour le peu que j’ai lu, il me semble qu’il manque des traitements de fond. Il faut que vous vous penchiez sur des dossiers avec des enquêtes qui couvrent deux pages entières, avec interviews des différents acteurs de la question que vous voulez soulever pour pouvoir donner aux communautés qui sont les plus touchées : les éducateurs et les populations formés mais également l’opinion publique de manière générale sur ce qui se fait ; les questions de budget de l’éducation, les grandes réformes qui se font au niveau de l’enseignement et notamment l’enseignement supérieur. Actuellement la grande question du LMD qui secoue l’Université d’Abomey-Calavi, qu’est-ce que c’est réellement ? Pourquoi aujourd’hui les étudiants, parce qu’il n’y a pas une seconde session, veulent remettre en cause tout le LMD. Faire de grandes enquêtes, de grands sujets avec de grands dossiers si je puis dire ainsi. Il y a de bons reportages et c’est ce qui fait l’actualité. A mon avis il y a cet élément qui a manqué en tout cas dans les trois numéros que j’ai lus. Sur les critiques positives, je dirai que ce journal thématique qui existe est très positif et secondo, la présentation, en dit long sur la qualité, la une et les pages etc. Il me semble que vous devriez faire des efforts sur le plan de la communication pour avoir quelques sponsors pour pouvoir produire davantage d’exemplaires. En regardant un peu et en fouillant sur internet, j’ai remarqué que le positionnement du journal sur les grandes questions de l’éducation au Bénin n’est pas encore ce qu’il doit être. Vous devez, je pense, être mieux positionné puisque vous êtes les seuls sur ce marché. Ce sont les journaux d’actualité générale qui viennent en première position quand on fait des recherches sur l’éducation. Ce qui ne devrait, à mon avis pas être le cas, quand on parle de la partie numérique de votre site internet notamment. Donc voilà les premières remarques constructives que je puis formuler.
Réalisation : La Rédaction