Le Centre International d’Arts et de Musique de Ouidah (CIAMO) en collaboration avec le Centre Culturel Américain (CCA) a lancé la 10ème édition du « Festival Kaléta et des Arts Agouda » à la place de l’ex-Fort Français de Ouidah. C’était en présence d’un parterre d’autorités à savoir le directeur du CCA, Mr Douglas Johnston, le maire de Cotonou, Mr Soglo Nicéphore, le conseiller technique de la direction de l’Unesco, Mr Tidjani Serpos, le conseiller spécial et technique du festival, Mr Marius Francisco. Plusieurs cadres de la région soutenus par un public en liesse ont aussi effectué le déplacement de ce jeudi 19 décembre.
Le Centre International d’Arts et de Musique de Ouidah (CIAMO) en collaboration avec le Centre Culturel Américain (CCA) a lancé la 10ème édition du « Festival Kaléta et des Arts Agouda » à la place de l’ex-Fort Français de Ouidah. C’était en présence d’un parterre d’autorités à savoir le directeur du CCA, Mr Douglas Johnston, le maire de Cotonou, Mr Soglo Nicéphore, le conseiller technique de la direction de l’Unesco, Mr Tidjani Serpos, le conseiller spécial et technique du festival, Mr Marius Francisco. Plusieurs cadres de la région soutenus par un public en liesse ont aussi effectué le déplacement de ce jeudi 19 décembre.
Le retard, un virus qui ronge le Bénin
Prévu pour 15h, la cérémonie de lancement de la 10ème édition du « Festival Kaléta et des Arts Agouda » n’a démarré qu’après 17h, soit deux heures d’horloge de retard. Une situation déplorable qui n’est pas seulement liée à ce festival mais à toutes les activités officielles organisées par les Béninois. Au lieu de travailler à inverser cette tendance, la situation devient délétère et contamine même les structures privées qui sont supposées valoriser le temps. Si nous ne nous éduquons pas à la ponctualité dans les petites tâches, nous garderons toujours le profile bas devant ces étrangers qui veulent bien nous aider mais qui constatent malheureusement que nous ne sommes pas prêts.
U.V.A
Maurice SAGBOHAN