Au service de la communauté éducative depuis juin 2013, le média Educ’Action paraîssant à Cotonou, au Bénin, entend être le pionnier en matière d’accompagnement et de promotion du système éducatif au Bénin, en Afrique voire dans le monde à l’horizon 2030. Une vision légitime portée par ses nombreuses productions médiatiques dans les sous ordres des enseignements maternel et primaire ; secondaire, technique et de la formation professionnelle ; supérieur et de la recherche scientifique. Après une année d’exercice, la direction et l’ensemble du personnel rédactionnel du journal s’ouvrent aux lecteurs, internautes et partenaires pour recueillir leurs appréciations du travail journalistique qui est fait en vue d’améliorer la qualité des prestations pour les années à venir. Voici la synthèse de ce qu’ils pensent de Educ’Action.
A l’instar des années précédentes, l’hebdomadaire Educ’Action avec la collaboration intellectuelle de ses partenaires, a réussi à impacter positivement le système éducatif au Bénin, en Afrique voire dans le monde à travers ses milliers de productions journalistiques qui abordaient diverses thématiques cruciales et pertinentes de la vie de l’école. L’objectif était, d’une part, de faire un gros plan sur des sujets majeurs de l’éducation pour éveiller les consciences des gouvernants éducatifs, puis d’autre part, d’aider à la prise de décisions pour le bonheur du secteur et des acteurs de la communauté éducative. Un travail certes exigeant et contraignant, mais passionnant pour le personnel rédactionnel, les journalistes et reporters de Educ’Action unanimement mus par la volonté de contribuer à travers le média, à améliorer l’image, à l’époque agonisante, du système éducatif au Bénin. Cet effort quotidien qui se ressent sur la qualité des articles et productions de presse du journal est fortement apprécié des enseignants, syndicalistes, inspecteurs de l’enseignement du premier degré, directeurs d’établissement d’enseignement secondaire. Rencontrés séparément en ville ou sur leurs lieux de travail, ils confessent tout le bien qu’ils pensent du travail de qualité produit par le média via son personnel. «Le SYNAEM-Bénin a mené une série d’activités au cours de l’année 2021 qui rentrent dans le cadre de la promotion de l’enseignement maternel au Bénin et surtout dans le cadre des activités syndicales. Educ’Action a rédigé beaucoup d’articles de fond pour assurer la visibilité de ces activités. Les productions vidéos, les spots, les publi-reportages et autres, ont rehaussé les actions du SYNAEM-Bénin. Je salue le travail abattu tout au long de l’année écoulée», témoigne Gaétan Elvis Kponoukon, secrétaire général du SYNAEM-Bénin, reconnaissant l’accompagnement du média spécialisé dans les questions éducatives.
Faisant la part belle à l’hebdomadaire Educ’Action dans l’environnement médiatique béninois, Arnaud Agbohounka, membre de la Commission Administrative Paritaire du Ministère des Enseignements Maternel et Primaire (MEMP) affirme : « Educ’Action est le magazine éducatif que je lis le mieux parmi la kyrielle de journaux au Bénin. J’admire le style journalistique et les thématiques abordées ».
Premier responsable de la Région pédagogique N°28 dont il a la gouvernance, l’inspecteur Camille Tchiakpè arrive à trouver un temps de lecture des articles et productions de fond de Educ’Action en dépit de ses charges. « J’ai particulièrement apprécié les productions journalistiques de Educ’Action car elles ont le mérite de faire la lumière sur les différents faits et dysfonctionnements observés dans les divers ordres du système éducatif de notre pays », a-t-il déclaré, décernant son satisfécit aux rédacteurs du journal. Martin Luther Adéromou, Directeur Départemental des Enseignements Maternel et Primaire du Littoral, n’a pas caché, lui aussi, ses sentiments. « Mes appréciations sont bonnes par rapport aux productions du journal Educ’Action au cours de l’année 2021.
Les productions journalistiques que j’ai lues et qui sont le fruit d’investigations minutieuses des journalistes, sont de bonnes factures. Et nous vous encourageons à poursuivre dans cette lancée », a-t-il dit.
Un des lecteurs de ce journal, c’est aussi le directeur de l’Inspection et de l’Innovation Pédagogique du MEMP, l’inspecteur Rock Ahokpossi. Il a également donné ses appréciations du travail fait par l’équipe de Educ’Action en 2021. « Educ’Action est un hebdomadaire qui s’intéresse aux questions de l’éducation. Sa ligne éditoriale permet, dans une analyse critique et constructive, aux différents acteurs de s’informer sur le système éducatif du pays et sur l’école en particulier », a affirmé l’inspecteur, toujours disponible et à l’écoute des préoccupations des professionnels des médias du journal.
Outre les préoccupations éducatives liées au sous-secteur maternel et primaire, Educ’Action traite aussi des enjeux de la vie de l’école dans le secondaire, technique et la formation professionnelle.
Des commentaires des acteurs du Secondaire
Sylvère Adjahouto est un enseignant d’Anglais dans le secondaire. « Educ’Action est un journal que j’aime bien parce qu’il est spécialisé dans les questions de l’éducation. Je dirai que vous avez choisi la bonne part parce qu’une Nation sans éducation est une Nation qui est vouée à l’échec. Educ’Action s’est mis dans ce combat pour nous informer sur le système éducatif béninois. Je pense que le travail, vous le faites si bien. Nous n’avons pas trop la culture de la lecture au Bénin et j’aurais voulu que ce journal puisse couvrir toute l’étendue du territoire national », a-t-il formulé, ajoutant par ailleurs : « si vous pouvez, par exemple, discuter avec les chefs d’établissements, ne serait-ce que pour leur faire faire l’abonnement afin que, tout au moins à chaque parution, le journal puisse se retrouver dans les collèges, ce serait bien. Car, il y a certaines choses que nous ne maîtrisons pas et que vous mettez dans vos articles ».
Son collègue Stanislas Zogo, enseignant des SPCT, abonde dans le même sens. « Les actions du journal Educ’Action sont limitées dans l’espace. Pour améliorer ses services et satisfaire ses lecteurs, il faudrait que les parutions de ce journal soient disponibles dans les zones reculées aussi et que des événements grand public de sensibilisation et d’éducation soient souvent organisés surtout pendant les périodes de congés. Il faut également que des émissions radiophoniques dans les zones rurales et/ou télévisées dans les zones urbaines, appuient ses activités dans le sens de la vulgarisation », a-t-il préconisé pour la médiatisation des offres de l’hebdomadaire. Il reconnaît néanmoins les efforts du journal et son engagement à aider à panser les plaies du système éducatif au Bénin voire en Afrique. Pour conclure, Stanislas Zogo se prononce en ces termes : « La jeunesse en général et celle scolaire et universitaire d’aujourd’hui a besoin de plus de suivi et d’orientation pour ne pas continuer à verser dans les dérives constatées depuis quelques années. Le journal Educ’Action est venu à point nommé pour apporter un appui dans ce sens à travers ses numéros très enrichissants en faisant le diagnostic des actions et services à offrir pour une amélioration des résultats scolaires ».
Pour Bernard Lahamy, directeur du CEG 1 Godomey, arrondissement de Godomey, commune d’Abomey-Calavi, le journal Educ’Action est un journal qui s’intéresse à un domaine qui n’intéresse pas la presse généraliste. Il précise : « C’est un journal avant-gardiste, un journal qui veut que l’opinion soit informée de ce qui se passe dans le secteur de l’éducation. Mais je pense qu’il manque un peu la diffusion. Il ne couvre pas toute l’étendue du territoire national. Les acteurs du système ne sont pas toujours informés de ce journal ».
La question de l’employabilité et de la formation professionnelle a été abordée dans les productions de Educ’Action.
Ce qui a attiré l’attention de Cyrille Boglo, consultant en droits de l’enfant. « Educ’Action, au cours de l’année 2021, a pris son envol rien que par ses différentes publications qui posent le réel problème de l’employabilité des jeunes. Cette employabilité est aussi liée au contenu des formations au plan académique et aux objectifs de formations habituellement développées dans les différents centres d’application et centres de formation », a-t-il laissé entendre, appréciant ainsi l’inspiration ayant conduit au choix de ce thème majeur de la vie éducative. Au-delà de cet aspect, poursuit-il, Educ’Action se positionne à travers ses publications comme un observateur averti des problèmes qui tournent autour de la jeunesse africaine, de la préparation de la relève africaine, de l’inadéquation des formations avec la réalité du terrain. « Avec l’implication de Educ’Action au niveau régional, nous avons l’espoir que ce journal va se faire compter parmi les principaux acteurs influenceurs de la mentalité du développement de l’Afrique », pense le consultant Cyrille Boglo.
Enock GUIDJIME