13 juillet 2013 – 13 juillet 2023. Voilà 10 ans que Educ’Action, hebdomadaire spécialiste des questions éducatives, arpente monts et vallées pour collecter, traiter et diffuser l’information éducative au Bénin et ailleurs. Aujourd’hui, les lecteurs et partenaires donnent leurs impressions du travail abattu et se projettent dans l’avenir, pour le meilleur. Ils ont dit !
René Mathias Acakpo, conseiller technique à l’Enseignement et la Formation Technique et Professionnelle au MESTFP
« Sans exigence de contrepartie, ils se sont donnés, ils se sont sacrifiés au travail »
«Depuis 10 ans, j’ai connu l’hebdomadaire Educ’Action. J’ai bien connu le promoteur qui s’est battu pour que les questions éducatives soient une préoccupation pour les acteurs du système éducatif et pour tous les parents. L’hebdomadaire a fait un très bon chemin, s’est beaucoup sacrifié pour le système éducatif de notre pays. Il faudrait remercier très sincèrement cette initiative, remercier tous les acteurs qui ont animé cet hebdomadaire et les féliciter pour cette décennie qui s’achève. C’est petit mais c’est beaucoup, 10 ans dans la vie d’un hebdomadaire comme celui-là qui n’a pas de gros moyens pour assumer un tel rôle et qui a vécu à coup de sacrifice. Je voudrais féliciter très sincèrement Educ’Action et dire qu’il mérite normalement beaucoup de choses, beaucoup de moyens de la part de l’Etat pour pouvoir continuer. Le travail abattu jusque-là est immense et un jour où l’autre, tout le monde reconnaîtra le rôle qu’il a joué et ce qu’il a fait pour chacun des acteurs du système éducatif.
Personnellement, j’ai bénéficié de l’appui de la direction de Educ’Action, bénéficié de la collaboration des différents animateurs, des différents journalistes. Je les félicite tous pour cette collaboration qui a été fructueuse. Sans exigence de contrepartie, ils se sont donnés, ils se sont sacrifiés au travail. Ils m’ont personnellement assisté au niveau des ONG et au niveau du ministère ou des directions que j’ai eu à animer pendant mon séjour ici. Je leur dis Bravo. Il me sera difficile de leur citer des insuffisances. On dira que cela n’en manque pas mais personnellement je ne saurais leur citer des insuffisances aujourd’hui, je n’en ai pas eues. Je pourrai en avoir demain. C’est vrai qu’il peut avoir quelques petites coquilles mais globalement la ligne éditoriale est respectée et tout le monde s’y met avec joie et détermination. Bravo à tous.
Le groupe de presse et l’ONG qui y est associée sont assez bien animés. Mais en termes de perspectives pour les prochaines années, il peut avoir d’autres activités et surtout les activités récréatives pendant les vacances. Compte tenu de son orientation, Educ’Action peut prendre des initiatives dans ce sens pour embarquer beaucoup d’ONG, d’associations pour que nos jeunes ne soient pas oisifs pendant ces périodes de déviances et c’est là où l’oisiveté est effectivement mère de tous les vices. Il peut y contribuer compte tenu du choix qu’il a fait d’accompagner le système éducatif. Ça pourrait être un défi que nous allons relever ensemble pour aider nos familles, nos gouvernants en proie à différentes sortes de déviances et à la déchéance morale que nous observons dans nos établissements d’enseignement secondaire, dans nos centres de formation professionnelle. Nous pourrons réfléchir à certaines orientations dans ce sens pour que Educ’Action prenne le lead et que nous puissions l’accompagner afin que les jeunes soient mieux encadrés. Qu’il y ait aussi des rubriques spéciales jeunes pour accompagner l’éducation que les parents peinent des fois à donner. Merci beaucoup. Merci au DG Ulrich Vital Ahotondji, dans ses nouvelles fonctions aussi. C’est la preuve que la lutte paie toujours. Nous sommes de cœurs avec vous et bonne fête à tous. »
Hervé Kinha, coordonnateur national de la Coalition Béninoise des Organisations pour l’Education Pour Tous (CBO-EPT)
« Nous saluons cet effort et ce travail de qualité qui se fait chaque semaine »
«L’hebdomadaire Educ’Action a 10 ans. Je voudrais avant tout, dire toute mon admiration pour l’équipe qui a travaillé durant les 10 ans pour informer le peuple béninois sur les défis et enjeux de l’éducation. Nous pensons que l’hebdomadaire Educ’Action est une tribune d’information, de mobilisation et d’interpellation sur les défis et enjeux de l’éducation au Bénin. Il n’y a pas cette semaine où je ne cherche pas à lire cet hebdomadaire qui nous informe davantage sur les enjeux de l’éducation dans notre pays et sur les problèmes que cela pose. Les vrais défis de l’éducation au Bénin sont traités par l’équipe de journalistes de Educ’Action. C’est vraiment pour nous une première dans le paysage médiatique béninois. Un hebdomadaire qui traite exclusivement et qui fait des investigations sur l’éducation, c’est vraiment une très belle opportunité pour les acteurs de l’éducation que nous sommes. C’est en même temps un outil d’information de masse parce que c’est sur les réseaux sociaux également et cela permet à tous ceux qui sont à l’intérieur du pays et même hors du pays, de s’informer sur ce qui se passe dans le domaine de l’éducation au Bénin.
10 ans dans la vie d’un média, c’est vraiment énorme parce qu’en tant que média, il y a beaucoup de péripéties dans le temps pour vivre et survivre. Pour cela, je voudrais dire mes félicitations à tous les journalistes de Educ’Action et particulièrement au promoteur qui a un engagement vraiment très apprécié pour la cause de l’éducation et qui a vu juste que dans le paysage médiatique béninois, il manque quelque chose de très important, un hebdomadaire qui va traiter spécifiquement des questions de l’éducation. C’est un travail de qualité qui se fait que nous saluons tous. Au niveau de la CBO-EPT, nous saluons cet effort et ce travail de qualité qui se fait chaque semaine pour nous informer, pour nous interpeller sur les défis et enjeux de l’éducation dans notre pays. Bravo à toute l’équipe de Educ’Action, bravo au promoteur.
Ce qui me marque particulièrement dans cet hebdomadaire, c’est la manière de traiter les sujets de façon libre, objective, dénouée de toute considération partisane, politique, ethnique. Les journalistes qui traitent les sujets sont des professionnels et il n’y a pas de parti pris. Lorsque nous lisons les articles, nous constatons que c’est une analyse critique qui se fait et qui ouvre des voies sur la recherche de solutions. C’est un travail qui va se poursuivre dans le temps, ce travail d’impartialité dans le traitement des sujets. L’impartialité dans le traitement des sujets est ce qui m’a marqué durant les 10 ans de parution de cet hebdomadaire. L’Etat doit soutenir cette initiative de Educ’Action pour lui permettre d’être présent dans toutes les localités du Bénin parce que c’est un média qui traite véritablement des questions de l’éducation et qui a pris le domaine de l’éducation comme un domaine très important pour le développement du pays. Nous devons les soutenir et faire en sorte que Educ’Action soit bien équipé pour couvrir tout le territoire national en termes d’information. Je suggère à Educ’Action de choisir quelques langues nationales parmi les six qui sont reconnues au Bénin comme les plus prédominantes pour faire des capsules vidéos de sensibilisation qu’on pourrait balancer sur les réseaux sociaux en dehors de cet hebdomadaire pour pouvoir sensibiliser la grande masse. »
Maxime Agoua, administrateur de projet et chargé de programme du Réseau des Structures de Protection des Enfants en Situation Difficile (ReSPESD)
« Pourquoi ne pas citer Educ’Action dans l’Ordre National du Bénin ? »
«Educ’Action fête 10 ans d’existence. Je voudrais par ces mots, souhaiter bon anniversaire à Educ’Action et témoigner notre profonde gratitude et notre administration pour tout ce que Educ’Action fait en matière d’effectivité des droits des enfants au Bénin, en l’occurrence le droit à une éducation de qualité. Le travail que fait Educ’Action, depuis quelques années, force le respect et l’admiration. Nous sommes partenaires et je puis témoigner avec foi et objectivité que Educ’Action est un partenaire de premier ordre dans la mise en œuvre de nos projets-programmes. Nous avons fait du chemin avec Educ’Action et nous sommes animés de sentiments de gratitude et de satisfaction quant à la qualité de ce que nous avons pu faire ensemble jusqu’ici. Je formule le vœu de pouvoir continuer à travailler avec Educ’Action dans le cadre de la réalisation des droits des enfants au Bénin. J’ai un profond respect pour l’équipe dirigeante de Educ’Action, son dynamisme, la jeunesse de ceux qui composent cette structure. Je puis aussi témoigner que nous avons avec Educ’Action, un partenaire d’avenir. Je voudrais enfin formuler le vœu que Educ’Action aille beaucoup plus loin avec le concours et le soutien aussi bien de l’Etat que des partenaires techniques au développement. Cela dit, c’est l’occasion pour moi de me poser une question un peu osée : Pourquoi ne pas citer Educ’Action dans l’Ordre National du Bénin ? C’est peut-être osé mais à mon sens, cela en vaut la peine quand on sait que Educ’Action est un véritable soldat dans le cadre de la réalisation des droits à l’éducation au Bénin. Le vin se bonifie avec le temps. Vivement que Educ’Action aille de l’avant. Bon vent à Educ’Action et vivement le meilleur. Une fois encore félicitation et je formule le vœu de rester avec Educ’Action plus que jamais, engagé pour la cause des droits des enfants au Bénin. »
Christophe Mekoun, géographe et manager de projets, directeur exécutif de l’ONG Assovie
« Au-delà des actions de couverture médiatique, Educ’Action travaille à sensibiliser et former les parties prenantes pour une meilleure éducation »
«Mes impressions vis-à-vis de l’hebdomadaire Educ’Action sont très bonnes car cet organe facilite le rayonnement des initiatives du secteur de l’éducation. Je pense que nous pouvons être très fiers et satisfaits des actions menées par Educ’Action dans le secteur de l’éducation. Au-delà des actions de couverture médiatique, Educ’Action travaille à sensibiliser et former les parties prenantes pour une meilleure éducation.
Dans la collaboration avec Educ’Action, ce qui m’a particulièrement marqué, c’est la volonté de bien faire, de chercher l’excellence dans ce qui est fait et l’adaptation à l’environnement, avec la personne qu’on a devant soi. En termes d’insuffisances, je dirai simplement que le temps d’invitation des acteurs pour participer aux émissions est un peu court. Pour ce qui est des perspectives pour les années à venir, il s’agira d’assurer la continuité de ce qui se fait déjà bien et en plus de promouvoir l’inclusion sur tous ses aspects dans l’éducation. »
Jean Akowe, psychopédagogue à l’école salésienne Don Bosco
« J’ai constaté que c’est un organe qui est organisé et qui sait repérer les personnes ressources pour mieux coacher, aider tous les acteurs du système éducatif »
«L’hebdomadaire Educ’Action est une presse qui fait des merveilles dans le monde éducatif et qui aussi fait un travail formidable avec ses canaux de diffusion que sont la web radio, la presse écrite. Par ces canaux, l’hebdomadaire accompagne au mieux les décideurs depuis le gouvernement jusqu’au niveau administratif dans les écoles, les parents et spécialement la grande cible que sont les élèves. Dans ma collaboration avec Educ’Action, j’ai constaté que c’est un organe qui est organisé et qui sait repérer les personnes ressources pour mieux coacher, aider tous les acteurs du système éducatif. En cela, c’est un mérite et j’encourage l’organe dans ce sens avec la richesse du contenu des différents thèmes qui sont développés. Vraiment c’est un organe à encourager.
Alors, les défis de l’éducation aujourd’hui au Bénin sont énormes. Il va falloir que l’organe revienne sur des thèmes déjà développés auparavant et qui sont toujours d’actualité. Je suggère qu’il contacte d’autres acteurs que ceux appelés d’habitude pour renforcer les contenus afin de mieux aider tous les acteurs du système pour permettre à ce que l’éducation qui constitue le socle de toute société puisse connaître un bon décollage. Pour aborder les perspectives, je ne voudrais plus que Educ’Action ait une web radio mais plutôt une radio qui dispose d’une fréquence et qui peut être captée partout sur le territoire national. Au niveau du journal papier, je souhaite que Educ’Action ait une politique qui lui permette d’être présent dans toutes les écoles, institutions qui s’occupent de l’éducation. Si tous ceux qui militent dans le secteur de l’éducation sont au parfum des différents travaux de Educ’Action, je pense qu’il y aura un grand changement au niveau de l’organe. »
Professeur Maxime da Cruz, ancien recteur de l’Université d’Abomey-Calavi
« La posture que les journalistes adoptent face aux autres fait parfois la différence. C’est peut-être naturel pour vous de le faire, mais vous devez aussi savoir l’impression que les autres en gardent »
«Je crois qu’à travers ce travail, Educ’Action sort des sentiers battus. Dans cet environnement où la presse traverse des difficultés, c’est courageux de choisir la voie qui est de se spécialiser sur les questions relatives à l’éducation. C’est une question d’engagement et de courage.
Educ’Action fait un travail de qualité. Je garde de bons souvenirs de l’équipe de journalistes. Je voudrais les encourager à continuer sur cette lancée. Mes souvenirs les plus marquants c’est déjà ce qu’ils entretiennent avec les autres. La posture que les journalistes adoptent face aux autres fait parfois la différence. C’est peut-être naturel pour vous de le faire, mais vous devez aussi savoir l’impression que les autres en gardent. Cette impression est globalement favorable.
C’est une œuvre humaine, la dynamique doit être de contribuer à aller encore plus loin et à faire mieux. Je voudrais souligner le fait que parfois on a le sentiment, à travers certains papiers, qu’il y a des conclusions quelque peu hâtives, qui traduisent l’influence par rapport à un certain nombre d’idées reçues sur le secteur de l’éducation. Je crois que Educ’Action en est capable, vous ne le faites pas sciemment, mais c’est le constat qu’en tant que lecteur je note parfois. On ne peut pas mettre en doute votre bonne foi.
Pour ce qui doit être fait les années à venir en matière de perspectives, il faut, sur un certain nombre de sujets, susciter davantage un débat. Il faut des panels sur des thématiques afin que l’on puisse échanger avec un certain nombre de personnes et qu’on ait aussi recours à des gens qui ont quelque chose à dire, qui ont un savoir-faire dans le domaine, qui ont une expérience à partager pour que l’ensemble des acteurs puissent profiter du contenu de Educ’Action. Il faut aller dans ce sens, ne pas avoir peur d’aller à contre-courant. On n’est pas obligé de répéter ce que les gens vous disent d’entendre. Je ne dis pas que c’est ce que vous faites, mais parfois la tentation est grande.
Je voudrais pour finir vous remercier de la qualité du travail. Féliciter toute l’équipe de Educ’Action et vous souhaiter un joyeux anniversaire. Que les années à venir renforcent ce capital confiance que vous avez développé et dont vous bénéficiez. Que ce niveau de compétence soit renforcé et cette crédibilité soit raffermie. »
Dévi Francis Noumonvi, coordonnateur du projet de protection et d’éducation de l’enfance de l’Association «Messager de la paix»
« Les actions ont toujours eu leur impact dans la vie des enfants au Bénin »
«L’hebdomadaire Educ’Action au Bénin est une presse écrite qui s’investit dans l’éducation des enfants en situations difficiles. Par cet hebdomadaire, nous sommes informés chaque semaine, des actions de protection et d’éducation à l’endroit des enfants, des problèmes qui handicapent le développement harmonieux et l’épanouissement des enfants, et des pistes d’actions et perspectives en vue d’améliorer les conditions de vie de ces êtres vulnérables. Educ’Action par ses interventions, contribue à promouvoir et à défendre le bien-être des enfants en situations difficiles sur le territoire béninois et dans la sous-région. C’est une presse à saluer par son dynamisme et par son professionnalisme. Mes impressions sont, de façon générale, très positives, très bonnes à la vue de l’activisme de l’organe.
L’ONG Educ’Action est membre du Réseau de Protection des Enfants en Situations Difficiles au Bénin (ReSPED). Dans ce cadre, en tant que coordonnateur départemental Littoral du ReSPED à l’époque, nous avions collaboré, mon équipe et moi, avec cette ONG qui nous a aidés à relayer nos actions dans le cadre de la protection de l’enfance. L’ONG s’est battue à nos côtés pour améliorer l’environnement protecteur des enfants dans la coordination départementale Littoral et par ricochet au Bénin. Cette ONG, par son dynamisme, est présente dans presque toutes les coordinations du Bénin. C’est avec satisfécit que nous saluons ses interventions avec l’appui du groupe de presse qui est le premier de la sous-région à s’investir dans la protection et l’éducation de l’enfant. Ce sont des secteurs un peu en léthargie, mais qui est en train d’être boosté et dynamisé par Educ’Action.
Aucune œuvre n’est parfaite au monde mais en cela, je ne dirai pas pour avoir collaboré avec Educ’Action et le ReSPED qu’il y a des insuffisances. Je dirai tout simplement que tant qu’il reste à faire, rien n’est encore fait. Educ’Action depuis qu’il mène ses actions, a dû faire l’analyse de sa propre pratique professionnelle, rencontrer des difficultés, être confronté à des insuffisances mais a pu résister à tous ces naufrages. Autant de choses qui ont, à un moment donné, fragilisé cette presse, mais l’organe n’a pas vacillé ni chancelé. Les actions ont toujours eu leur impact dans la vie des enfants au Bénin. Je pense que je ne parlerai pas d’insuffisances mais je dirai peut-être que, comme dans tout secteur d’activité, Educ’Action a ses difficultés, ses problèmes. A travers la mise en œuvre de ses projets, il y a des leçons acquises qui lui permettront donc de travailler sur nombre de leviers pour améliorer et rendre beaucoup plus professionnelles ses interventions. En termes de perspectives, je voudrais juste souhaiter une bonne continuation à Educ’Action dans les actions qu’il déploie sur l’échiquier national et dans la sous-région. Les actions sont à saluer et Educ’Action révolutionne déjà le monde du journalisme, de la presse écrite, de la presse en ligne. Educ’Action s’emploie vraiment à former des professionnels du journalisme et ce sont des actions qui méritent félicitations. Nous tirons une fière chandelle à l’organe et lui souhaitons bonne chance et bon vent pour l’avenir. »
Arnauld Gbaguidi, conseiller technique à l’Alphabétisation et à la Promotion des Langues Nationales au Ministère des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle (MESTFP)
« Je souhaite à Educ’Action d’avoir sa propre chaîne de télévision pour mieux fixer ce qui est déjà très bien fait à l’écrit et à l’audio »
«Educ’Action est composé d’une équipe de jeunes très mobilisés, très engagés et très sérieux qui travaillent avec un professionnalisme exceptionnel. Je souhaite à Educ’Action d’avoir sa propre chaîne de télévision pour mieux fixer ce qui est déjà très bien fait à l’écrit et à l’audio. »
Franck Arnaud Sèdjro, secrétaire exécutif du Réseau National des Opérateurs Privés pour la Promotion de l’Alphabétisation et des Langues Nationales (RéNOPAL)
« Je pense que nous devons travailler à ce que Educ’Action ait davantage de moyens pour faire encore mieux ce qu’il est en train de faire »
«Il faut dire que les 10 ans de Educ’Action sont pleinement à saluer. J’en suis moi-même particulièrement ravi parce que c’est un hebdomadaire qui est venu combler le vide qu’on a constaté en matière de partages d’informations à plein temps concernant les questions de l’éducation. C’est un hebdomadaire qui nous a informés au fur et à mesure sur tout ce qui se passe dans le secteur de l’éducation. Ceci, en passant par les ministères et même allant sur le terrain. Donc, j’ai une impression très positive par rapport à ce que cet hebdomadaire a fait depuis sa naissance jusqu’à aujourd’hui. Je pense que c’est à saluer et à encourager surtout. C’est un organe qui a évolué en fonction de ses réussites et a beaucoup tiré leçons des difficultés également. La preuve, nous sommes partis de Educ’Action version papier et aujourd’hui, c’est devenu tout un groupe de presse en matière d’informations sur le web. Il faut dire que s’ils en sont arrivés là, c’est parce que l’équipe qui travaille à cela a pris le bon bout des choses et répond réellement aux attentes des lecteurs, auditeurs, téléspectateurs et aux attentes également de toutes les personnes qui interviennent sur le web. C’est un travail de professionnel. Lorsque l’équipe est sollicitée pour la couverture de différentes activités liées à l’éducation, je prends le cas du RéNOPAL, la satisfaction à notre niveau a toujours été grande parce que les informations, les documents ont toujours été traités avec beaucoup de professionnalisme. Je pense qu’il faut continuer avec ça.
Ce qui nous a particulièrement marqué, c’est la promptitude à sauter sur les événements concernant l’éducation qui sont en cours. Quelque soit le contexte ou la situation, vous avez toujours Educ’Action en première ligne sur ces questions-là. Ça, vraiment, c’est une particularité de Educ’Action. L’autre particularité est le professionnalisme qui anime tous les agents de Educ’Action qui sont envoyés sur le terrain ou qui travaillent à nos côtés pour la promotion de l’éducation chez nous.
J’ai du mal à parler d’insuffisances. Je pense que nous devons travailler à ce que Educ’Action ait davantage de moyens pour faire encore mieux ce qu’il est en train de faire. C’est un organe, ma foi, qui, lorsqu’il va arriver à gagner plus de moyens, va soulever des montagnes parce qu’il pourra agrandir son équipe. Aujourd’hui, avec tout le professionnalisme qu’on lui connaît, il pourra faire parler de lui au-delà de nos frontières. Je sais que ça a déjà commencé mais avec un peu plus de moyens, Educ’Action pourra avoir une envergure internationale. Il se fait remarquer déjà à travers le web, mais il fera un peu plus et ce ne sera pas seulement les questions liées à l’éducation au Bénin. Je pense que des efforts pourront être faits dans ce sens avec les partenaires que nous sommes pour que Educ’Action puisse aller au-delà des frontières béninoises et soit au diapason des informations liées à l’éducation au cœur du monde entier. Comme ça, le Bénin pourra tirer leçon des expériences des autres pays pour améliorer ce que nous faisons chez nous.
Une des perspectives pour les années à venir, c’est évidemment cette couverture plus grande des activités de l’éducation au niveau du monde entier en commençant par notre sous-région pour que nous puissions en tirer des avantages. En plus, travailler également à mettre un accent particulier sur les questions d’alphabétisation. Vous n’êtes pas sans savoir que notre pays à près de 60% d’analphabètes et là, il y a un travail à faire de ce point de vue. Educ’Action en fait déjà beaucoup en reprenant les actions que les acteurs de ce sous-secteur font au quotidien. Et je pense qu’il faut mettre davantage de focus sur ce sous-secteur là, afin d’accompagner au mieux l’Etat à régler globalement les questions de l’éducation, mais plus particulièrement les questions liées au sous-secteur de l’alphabétisation puisque le développement durable passe nécessairement par une lutte contre l’analphabétisme. C’est à ce prix que nous gagnerons le pari d’un développement durable au Bénin. »
Gaétan Kponoukon, secrétaire général du SYNAEM-Bénin
« On prend du temps pour bien faire. Et en prenant du temps pour bien faire, il y a l’ardeur, la joie de voir la publication »
«Educ’Action est un organe de presse spécialisé dans le domaine de l’éducation. Mes impressions sont bonnes par rapport à sa prestation, aux différentes activités que cet organe de presse mène dans le cadre des activités éducatives. Nous sommes très impressionnés et très contents de ce que Educ’Action fait pour le Bénin en vue de l’amélioration de la qualité de l’éducation. C’est un travail colossal que l’organe a abattu jusque-là. On ne peut que remercier l’équipe qui est constituée de jeunes. Ce qui m’a le plus marqué, c’est le professionnalisme et la jeunesse de l’équipe. Je pense que ce professionnalisme a fait tache d’huile sur le traitement de la thématique Education. Au niveau des autres organes, on constate que c’est un mélange. Il y a la politique, le sport, les faits divers. Et le fait que ce média est spécialisé donne un coup de pouce au secteur de l’éducation.
En termes d’insuffisances, il faut d’abord reconnaître que Educ’Action fait un bon travail. C’est la livraison qui tarde parfois. C’est-à-dire qu’on prend du temps pour bien faire. Et en prenant du temps pour bien faire, il y a l’ardeur, la joie de voir la publication qui prend un peu de temps. Sinon, au final, c’est un travail de très bonne qualité. En ce qui concerne les perspectives, je pense que Educ’Action doit tendre ses tentacules dans les autres médias tels que la radio, la télévision tout en abordant des thématiques pointues lors des débats. Nous avons envie de voir Educ’Action être beaucoup plus actif 7 jours/7 voire 24h/24. »
Appoline Fagla, secrétaire général du SNEP-Bénin
« Je souhaite qu’Educ’Action fouille bien le secteur de l’éducation. Il y a des problèmes tapis dans l’ombre qui ne sont jamais abordés »
«D’abord, je voudrais dire Bravo à Educ’Action pour la célébration de ses 10 ans d’anniversaire. A Educ’Action, il y a des spécialistes du domaine de l’éducation parce qu’on a rencontré d’autres médias, ce n’est pas la même chose. Educ’Action ne fait pas la même chose. Je constate que Educ’Action va chercher les informations qui concernent l’éducation dans notre pays, dans n’importe quel département. Les problèmes qui se posent sont diffusés pour informer l’opinion éducative. Les gens sont informés de ce qui s’est passé un peu partout et cela peut servir d’exemple pour d’autres, susciter des réflexions et des débats. Le SNEP-Bénin est un ancien syndicat. Beaucoup ne le connaissait pas. C’est un ancien syndicat né dans les années 92. Les aînés sont partis à la retraite et il y avait un vide quand j’ai pris les rênes de ce syndicat en 2018. Avec les tractations, les recherches des partenaires et autres, quand j’ai rencontré Educ’Action, cela m’a permis de rendre visible le SNEP-Bénin sur l’échiquier syndical au Bénin. A eux, je me suis confiée pour qu’on publie mes activités un peu partout afin que le SNEP-Bénin soit un peu visible au Bénin.
Parlant d’insuffisances, c’est que Educ’Action signe un partenariat avec les structures qui sont dans le même domaine comme la chaîne nationale, ce serait bien. Si c’était possible, on allait utiliser ce canal pour avoir un peu de réduction. Donc c’est bien de travailler ensemble pour faciliter la diffusion des informations éducatives sur la chaîne nationale. Je souhaite qu’Educ’Action fouille bien le secteur de l’éducation. Il y a des problèmes tapis dans l’ombre qui ne sont jamais abordés. »
Dr Gérard Tchaou, SG du Syndicat Autonome de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur (SYNARES)
« En 10 ans, Educ’Action a fait de très belles choses et a permis de conscientiser un tant soit peu les décideurs »
«Si Educ’Action n’existait pas, il aurait fallu le créer parce que c’est un organe qui aide les acteurs et les partenaires du système éducatif béninois en allant chercher des sujets, des thématiques qui intéressent et qui accrochent. En 10 ans, Educ’Action a fait de très belles choses et a permis de conscientiser un tant soit peu les décideurs.
Le travail de Educ’Action est abattu par un groupe jeune, un groupe dynamique. J’apprécie à sa juste valeur tout ce que ces journalistes font. C’est un travail titanesque. Ceux qui ne sont pas dans le système éducatif vont penser que Educ’Action ne fait pas de bonnes choses. C’est avec plaisir que je lis tout ce que Educ’Action fait.
Les syndicats de l’Enseignement supérieur ont beaucoup bénéficié de l’appui de Educ’Action. Le journal nous a aidés à relayer nos activités, à faire connaître notre point de vue sur les réformes opérées dans l’enseignement supérieur, réformes les plus controversées les unes que les autres. Educ’Action a fait connaitre nos propositions sur telle ou telle réforme opérée sans tenir compte des partenaires sociaux que nous sommes.
Comme toute œuvre humaine, il y a des choses à améliorer, mais moi je n’en ai pas noté. L’équipe doit prendre la peine d’évaluer les actions posées pour voir le chemin parcouru afin de voir les imperfections et les insuffisances qu’ils auraient pu relever.
Je souhaiterais que Educ’Action ait beaucoup plus de ressources pour aller plus loin comme les grands médias. Qu’ils aient des moyens matériels pour acquérir du matériel roulant afin d’aller dans les profondeurs, à l’intérieur du pays. Et aussi beaucoup plus de ressources humaines afin d’avoir des antennes dans les régions, les départements, les communes. Que les mécènes se mettent sur leur chemin afin qu’ils aient beaucoup plus de ressources.
Joyeux anniversaire ! Bon vent ! »
Marcel Kogodo, journaliste et blogueur politique et culturel, président de l’association ‘‘Noyau Critique’’
« Educ’Action tient la dragée haute aux difficultés ambiantes du système des médias spécialisés au Bénin. Je mentionne cet acquis, dix années après la naissance de ce journal »
«Educ’Action a commencé à naître, sous la forme d’un hebdomadaire, avec les dents du défi de se spécialiser, de rayonner et de produire de l’impact dans le secteur de l’éducation. Il est à parier qu’en se fixant cet objectif de défi, Ulrich Vital Ahotondji ne pouvait pas se douter que, dix années après l’avoir opérationnalisé, il en serait à un complexe médiatique constitué de l’hebdomadaire, d’une web-radio et d’une web-télévision, de même que d’un ensemble d’organisations et d’événements diversifiés liés au fonctionnement du secteur de l’éducation. Cette démultiplication de l’hebdomadaire Educ’Action, en tout ce système est la réponse d’Ulrich Vital Ahotondji à l’indifférence des lecteurs et des mécènes béninois à une publication qui ne se soumet pas à mettre la politique au fondement de sa ligne éditoriale. La démultiplication indiquée est le signe de la résistance d’Ulrich Vital Ahotondji au caractère délétère d’un environnement médiatico-intellectuel béninois résolument hostile ou réfractaire à la spécialisation. Au lieu de mettre la clé sous le paillasson, ayant constaté l’absence de rentabilité de son entreprise, ce promoteur s’est fait résilient, plus déterminé que jamais et sacrificiel. L’ancrage dans son engagement et le refus de mordre la poussière ont conduit le promoteur à ériger l’éventail d’initiatives avec, comme fondement, l’hebdomadaire, Educ’Action. Educ’Action, à la dixième année de son existence, contribue à démontrer qu’Ulrich Vital Ahotondji est un dur à cuire ! «Aucune œuvre, au monde, n’est parfaite”, entend-on souvent dire. Educ’Action tient la dragée haute aux difficultés ambiantes du système des médias spécialisés au Bénin. Je mentionne cet acquis, dix années après la naissance de ce journal. Cette situation est une valeur. Pourquoi chercher des poux sur la tête d’un homme chauve ? Educ’Action fait ses preuves à travers des journalistes rompus à la tâche. Je fais confiance à l’instance dirigeante du journal pour continuer dans la diversification du contenu de ses plateformes médiatiques, pour alimenter et faire fonctionner les initiatives associatives parallèles qui sont attachées à Educ’Action. »
Dr. Ir. Max Fréjus Owolabi Sanya, enseignant-chercheur à l’Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi (EPAC) de l’Université d’Abomey-Calavi, Bénin
« J’apprécie chez les journalistes de Educ’Action le fait d’être toujours à l’affût d’idées innovantes, l’envie d’informer sur nos travaux de recherche et surtout participer aux événements »
«Je suis vraiment heureux de partager ce moment avec Educ’Action, car 10 ans c’est important à fêter et à accompagner pour tout le travail déjà abattu et les différents événements couverts jusque-là et à couvrir. Je remercie Educ’Action d’exister à nos côtés pour tout ce qui est information et couverture médiatique des activités de formation et d’éducation, le soutien et la présence de tout temps.
C’est une œuvre vraiment louable et à encourager. Nous devrions toujours œuvrer à coopérer avec cet organe, notamment à travers des partenariats. Pour moi, Educ’Action est un vrai label, car les journalistes développent des idées et thèmes intéressants à l’endroit de la communauté universitaire comme éducative en général. J’apprécie chez les journalistes de Educ’Action le fait d’être toujours à l’affût d’idées innovantes, l’envie d’informer sur nos travaux de recherche et surtout participer aux événements. C’est un sens de partage avec nous à saluer, une collaboration à continuer.
Je pense que la revue hebdomadaire sur YouTube pourrait couvrir une fois tous les 03 mois d’autres aspects tels que des innovations déjà publiées ou à venir. Il pourrait aussi publier des communiqués pouvant intéresser la communauté universitaire dans le journal ou sur le site web.
Je souhaite à Educ’Action, un joyeux anniversaire. Plein de vie et de réussite dans tout ce que vous faites. »
Wenceslas Mahoussi, enseignant-chercheur en Sciences de l’information et de la communication, coordonnateur du Master Communication et Relations Publiques à l’Ecole Nationale des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ENSTIC)
« Aujourd’hui, Educ’Action n’a presque jamais raté ses parutions et a occupé l’espace médiatique spécialisé ces dernières années »
«J’ai de très bonnes impressions de Educ’Action. Dans la mesure où Educ’Action fait du journalisme spécialisé, une spécialisation thématique sur l’éducation au sens large. Aujourd’hui, Educ’Action n’a presque jamais raté ses parutions et a occupé l’espace médiatique spécialisé ces dernières années. C’est de la persévérance. 10 ans c’est dire qu’on est à presque 500 parutions pour Educ’Action. Plusieurs sujets ont été abordés.
Le travail qu’abat Educ’Action est un travail énorme. Il fait un travail d’investigation dans le domaine de l’éducation, de la recherche scientifique, de l’alphabétisation, etc. J’ai eu la chance de collaborer avec Educ’Action. Ce qui m’a marqué c’est ce professionnalisme, ce souci de livrer une information juste, crédible, fouillée, documentée dans le secteur de l’éducation.
Je souhaite que Educ’Action reste un groupe de presse solide dans le domaine de l’éducation et davantage de profiler les acteurs de l’éducation pour leur faire passer le message. Les perspectives pour Educ’Action, c’est vraiment de rester à la fois comme un groupe médiatique, mais aussi comme un groupe qui influence le secteur de l’éducation dans sa capacité à creuser des sujets, à faire des investigations et des dossiers et aussi à faire le débat sur certains choix de politiques publiques en matière éducative.
Très joyeux anniversaire à vous. Allez au large, allez plus loin !
Professeur Wilfried Expédit Vissin, hydroclimatologue, président de l’association ouest-africaine de climatologie et président de l’Association internationale de Climatologie
« Mon souhait, c’est qu’on renforce les capacités des journalistes et qu’il y ait beaucoup plus de spécialistes comme sur les questions de santé, environnement, climat, de sorte à leur donner plus d’ouverture »
«Educ’Action est un organe de référence, pétri d’expériences et rempli de professionnels aguerris et qui forme, qui informe et qui éduque. Félicitations ! Cela fait un moment que je collabore avec Educ’Action et j’ai constaté que c’est un organe qui est à l’affut de la vérité, de l’information vraie. C’est dire que ce sont des professionnels aguerris qui travaillent dans cet organe. La collaboration s’est toujours bien passée, les rendez-vous sont respectés et la ponctualité est de mise. Les questions sont posées de façon intelligente et claire, ce qui favorise les réponses également claires. Les journalistes sont ouverts aux dialogues et aux échanges et sont le relais des connaissances, des résultats de nos travaux.
Mon souhait, c’est qu’on renforce les capacités des journalistes et qu’il y ait beaucoup plus de spécialistes comme sur les questions de santé, environnement, climat, de sorte à leur donner plus d’ouverture. Renforcer leurs connaissances et leurs compétences dans différents secteurs afin de leur permettre d’être outillés pour rendre au mieux les informations et les connaissances qu’ils transmettent. Je voudrais que Educ’Action continue à faire connaître les différents laboratoires à travers les résultats de leurs recherches. Que l’organe renforce et multiplie ses productions dans ce sens, de manière à vulgariser les résultats de recherche parce que nous les chercheurs, nous ne savons pas partager, communiquer sur nos résultats de recherche. Cet organe s’évertue à faire connaître les différents laboratoires à travers leurs travaux. Ma prière est que Educ’Action continue et renforce cette orientation qu’elle a prise de manière à aider les décideurs à mieux comprendre les résultats de nos recherches, à mieux leur inculquer les outils que nous découvrons à travers nos recherches, car il n’y a pas de développement sans recherche. Educ’Action devient le bras armé de la recherche au Bénin, de manière à aider les décideurs à découvrir et à connaître tout ce que nous faisons dans nos laboratoires. Merci à Educ’Action de continuer inlassablement à jouer cette partition afin d’être le pionnier du partage des connaissances et des compétences des universitaires.
Joyeux anniversaire à Educ’Action, à toute l’équipe. Que le Seigneur accorde une longue vie à cet organe. Prospérité, beaucoup d’épanouissement, de progrès et d’ouverture afin de devenir un organe véritablement de référence en matière d’éducation, de formation et de recherche, car sans un organe pareil, les décideurs ne seraient pas informés de ce qui est fait dans nos universités, des outils que nous mettons à leur disposition pour une bonne orientation, pour de bons choix, afin d’assurer l’épanouissement de notre pays. »
Tony Yambodè, administrateur culturel et promoteur des centres culturels Mayton d’Abomey-Calavi et de Zè
« Ce qui me fascine, c’est la capacité des journalistes à produire des articles qui rendent fidèlement compte des événements culturels »
«10 ans dans la vie d’un média, cela se fête, ça doit se fêter. Permettez-moi de me prononcer sur la rubrique culture de Educ’Action en 10 ans. Educ’Action est un partenaire privilégié pour les initiatives artistiques et culturelles au Bénin. Les éléments sont traités avec professionnalisme, des critiques sont faites dans le but d’améliorer des initiatives et des créations. Ce qui me fascine aussi, c’est la capacité des journalistes à produire des articles qui rendent fidèlement compte des événements culturels. L’adaptation du média aux nouvelles technologies de l’information et de la communication. Il y a aussi, la rapidité dans le traitement des informations. Ce que Educ’Action doit améliorer, c’est sa présence sur les réseaux sociaux. »
Dr Clarisse Napporn, enseignante-chercheure en Sciences de l’éducation, Coordonnatrice par intérim de la formation doctorale Psychologie et Sciences de l’éducation à l’Université d’Abomey-Calavi
« Bon anniversaire à Educ’Action. Ouverture, persévérance. Je souhaite à Educ’Action de grandir »
«Je connais Educ’Action depuis sa naissance. J’ai une collaboration avec Educ’Action qui dure dans le temps. L’organe a mon entière reconnaissance.
En 10 ans, c’est un travail colossal qui a été abattu. Il y a de véritables investigations dans le journal. Il y a du travail de documentation. Il y a une importante mine d’information qui reste inutilisée et qui gagnerait à être valorisée. Les thèmes qui sont abordés sont des sujets qui concernent l’éducation, qui concerne le système éducatif. Educ’Action me permet de suivre ce qui se passe sur le terrain en termes d’actions, d’activités dans le système. Ce qui m’a particulièrement marqué, c’est le professionnalisme du personnel, du directeur général aux collaborateurs. Quand Educ’Action me demande une interview, je n’hésite pas avant d’accepter. Ce qui n’est pas le cas avec les autres médias.
Je pense que derrière les activités de Educ’Action, il y a une réflexion qui fait qu’il y a de petits ajustements. Les perspectives pour moi, c’est de trouver une alternative à l’écrit et trouver d’autres canaux par lesquels communiquer sur les problèmes qui se posent au système et sensibiliser les autorités dans la prise de décision. Autre chose est d’être informée, autre chose est de partir de l’information dont on dispose pour prendre des décisions nécessaires et conséquentes. Il faut trouver le moyen de rentabiliser.
Bon anniversaire à Educ’Action. Ouverture, persévérance. Je souhaite à Educ’Action de grandir. »
Fortuné SOSSA, journaliste culturel et économique
« Vous ne pouvez pas aborder les questions éducatives au Bénin sans solliciter le journal Educ’Action et c’est quelque chose de très encourageant, assez merveilleux et je salue les acteurs »
«Educ’Action a su très vite s’imposer parce que c’est un journal spécialisé sur les questions éducatives. C’est un journal qui ne s’intéresse pas aux chiens écrasés. C’est un journal qui ne s’occupe pas du sensationnel, c’est un journal qui documente toutes ses productions, des productions qui servent à des recherches scientifiques et universitaires. C’est un journal dans lequel chacun essaye de se former et de se faire former au quotidien. Donc, on a noté une série de formations in situ, en dehors du bagage intellectuel dont dispose chacun des membres de la rédaction. C’est un journal piloté par quelqu’un qui a une très grande vision. D’abord, très vite, il a sondé le terrain et il a trouvé que le terrain de l’éducation est vierge, un terrain sur lequel il peut surfer avec son journal et se faire de la notoriété. Le travail qui a été fait en 10 ans est énorme. Ce sont des pages qui ont été écrites, des pages pouvant s’assimiler à des tomes de plusieurs ouvrages sur les questions éducatives. Aujourd’hui, vous ne pouvez pas aborder les questions éducatives au Bénin sans solliciter le journal Educ’Action et c’est quelque chose de très encourageant, assez merveilleux et je salue les acteurs. L’autre chose, c’est que c’est un journal qui a dépassé le niveau du papier et dispose désormais d’un espace audiovisuel et organise aussi des conférences. En 10 ans, le journal Educ’Action a montré que le travail du journaliste est un travail collégial. Nous avons vu une équipe dynamique, une équipe qui se montre vraiment très complice, une équipe qui travaille en symbiose. Nous n’avons jamais assisté à des divergences. Nous n’en avons jamais été témoin. C’est vrai que je ne travaille pas à Educ’Action, mais nous n’avons jamais eu des échos de divergence à l’interne. Je ne trouve pas vraiment d’insuffisance à ce journal sinon peut-être de demander à la direction d’essayer d’étoffer le personnel parce que le personnel est réduit. C’est ce que je note de loin. Ce que Educ’Action peut faire aussi, c’est de ne pas relâcher en ce qui concerne la formation du personnel. Il faut davantage en organiser parce que journaliste que nous sommes, nous avons besoin de formation tout le temps. Aujourd’hui, il y a l’influence du numérique. Des efforts ont été fait à ce niveau à Educ’Action et je pense qu’il faut toujours essayer de renforcer tout cela. »
Dr Edmond Houiton, ancien DDESTFP-Atlantique
« A voir la façon dont les animateurs peinent, courent après les informations, la qualité dont celles-ci sont traitées puis le montage des titres, les couleurs, Educ’Action est respecté »
«Educ’ Action est un hebdomadaire du secteur de l’éducation abordant des sujets aussi bien divers que variés. En lui souhaitant joyeux anniversaire, je le remercie d’avoir comblé un grand vide. Il est devenu un interlocuteur irremplaçable, un puissant pilier, un heureux vecteur de communication à travers lequel les acteurs du système éducatif échangent et s’identifient. Composé d’une équipe de jeunes talentueux, combattants, dynamiques, fertiles en réflexion et en écritures, sachant manipuler stylos, enregistreurs et ordinateurs, notre hebdomadaire séduit par sa ligne éditoriale, l’expression facile en style courant permettant aux lecteurs de niveau moyen de lire et de comprendre les exploits mais aussi les problèmes de notre école. Permettez moi de remercier ce package de jeunes âmes qui animent ce journal et ceux qui de loin soutiennent et font vivre cet organe. Je voudrais également remercier les autorités nos trois ministères sectoriels de l’éducation sans oublier de décerner une mention spéciale aux collaborateurs extérieurs et les personnes ressources. Un travail opiniâtre, sérieux et sincère avec des reportages de terrain, des vox populi, des interviews transcrites sans modification. A voir la façon dont les animateurs peinent, courent après les informations, la qualité dont celles-ci sont traitées puis le montage des titres, les couleurs, Educ’Action est respecté. Ce sérieux dans le travail fait de cet organe un journal à nul autre pareil qui fait son petit bonhomme de chemin sur la voie de l’excellence. Le sérieux dans le traitement des reportages, le respect aux collaborateurs puis la préparation psychologique, même si parfois l’on doit être pris de coup. C’est une parfaite collaboration en somme. Quelle autoflagellation ? C’est trop dire en parlant d’insuffisance. L’organe suit sa ligne éditorial et se bat tous les jours que Dieu fait pour abreuver ses fidèles chaque semaine. Ce n’est déja pas facile. Il faut être dedans pour s’en convaincre. Je salue la synergie d’intelligence et d’actions des animateurs de l’organe pour postuler désormais que l’organe doit mieux se faire connaître en descendant dans les mains des élèves et enseignants à la base dans plusieurs collèges à la base. »
Toussaint Sagbo Fanou, professeur certifié d’anglais à la retraite
« J’ai été marqué par l’impartialité, le professionnalisme et le caractère apolitique de cet organe dont le seul objectif est de former, d’informer, d’éduquer et d’éclairer notre lanterne sans rien attendre comme compensation »
«Le travail abattu par cet hebdomadaire est salutaire et réconfortant pour tous ceux qui aiment, respectent l’éducation et la vraie dans notre pays. J’ai été marqué par l’impartialité, le professionnalisme et le caractère apolitique de cet organe dont le seul objectif est de former, d’informer, d’éduquer et d’éclairer notre lanterne sans rien attendre comme compensation. Il y a une insuffisance que je note régulièrement au niveau de tous les organes mais que, heureusement je n’ai pas remarqué ici. Ce sont les innombrables fautes d’orthographe ou de grammaire. Le grand combat que Educ’Action doit réussir prochainement, ce sont les formations et sensibilisations « Grand-Public ». On pourra en discuter plus amplement plus tard. Nul n’est parfait et ce n’est pas Educ’Action qui échapperait à cette règle, mais pour l’instant, satisfecit. »