Noël avant l’heure : L’Ong « Pour une cause, un sourire » au chevet des orphelins

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À l’initiative de l’Ong « Pour une cause, un sourire », les enfants pensionnaires de l’Orphelinat Saint Antoine d’Azowlissè ont passé, le 14 décembre 2024, une journée mémorable marquée dea moments chaleureux et des gestes d’amour.
Conduite par sa présidente, Katia Gomez, l’équipe de l’Ong s’est mobilisée pour égayer ces jeunes âmes en période de Noël. Des vivres et d’autres dons ont été offerts à l’orphelinat, transformant ainsi cette journée en une fête avant l’heure. Les rires et les chants d’enfants ont résonné dans l’enceinte de l’orphelinat, traduisant la joie sincère des bénéficiaires.
Au cours de cette rencontre, Katia Gomez a exprimé la mission de l’Ong, portée par un objectif clair : redonner le sourire à ceux qui en ont le plus besoin. « Notre engagement est constant. Nous voulons être aux côtés des enfants, des femmes en difficulté et de tous ceux qui traversent des épreuves difficiles. L’amour et la solidarité sont au cœur de notre action », a-t-elle confié avec une émotion palpable.
Les enfants, visiblement touchés par cette marque d’attention, n’ont pas manqué de témoigner leur gratitude à l’Ong et à ses bienfaiteurs. Les mots de remerciement adressés à l’équipe ont reflété l’impact profond de ce geste de solidarité.
Créée dans le but de réconforter les orphelins, les enfants abandonnés et les femmes veuves en situation de précarité, l’Ong « Pour une cause, un sourire » s’investit activement dans le soutien aux plus vulnérables. Au-delà des dons matériels, l’organisation s’engage à promouvoir des initiatives d’autonomisation, incitant notamment les femmes à s’investir dans des activités génératrices de revenus.
Cette action à l’orphelinat Saint Antoine d’Azowlissè n’est qu’un exemple parmi tant d’autres des efforts de l’Ong pour propager la chaleur humaine et redonner espoir à ceux qui en ont besoin. Pour les pensionnaires, ce Noël précoce va rester gravé dans les mémoires, comme un moment de bonheur partagé et d’amour reçu.

Edouard KATCHIKPE

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