Rentrée académique et universitaire 2013-2014 : L’UAC en route pour la mutualisation des ressources et l’envol du LMD

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Après la rentrée des écoliers et élèves le jeudi 03 Octobre dernier, la rentrée académique de l’Université d’Abomey-Calavi a eu effectivement lieu le mercredi 9 Octobre 2013. Sous la houlette du charismatique Recteur Professeur Brice SINSIN, l’équipe rectorale, le corps professoral, le personnel administratif et les étudiants ont pris le pari de relever les nombreux défis qui se présentent à l’université d’Abomey-Calavi (UAC). Si le Recteur de l’UAC entend maintenir le cap des réformes engagées et saluées par tous depuis l’année dernière avec une mutualisation des ressources, les Doyens de Facultés et titulaire de Chair pour leur part, cherchent les voies et moyens pour l’envol effectif du système LMD dans leurs établissements et écoles respectifs et mobilisent leur staff pour la gestion efficiente des flux doublée de la qualité de l’enseignement délivré.

Après deux mois environ de repos, l’heure est actuellement à la reprise des cours sur les campus publics du Bénin. Ainsi, professeurs et étudiants retrouvent  le chemin des
amphithéâtres. Placée sous le signe de la mutualisation des ressources et de la confirmation du système d’enseignement LMD (Licence-Master-Doctorat), la cérémonie de la rentrée universitaire d’Abomey-Calavi a débuté par la parade des enseignants de l’université, de l’esplanade de l’Illaci  jusqu’à l’amphi Idrisss Deby Itno. Par cette manifestation emprunte de chaleur, le corps professoral s’est engagé à offrir le meilleur de son savoir-faire et de sa connaissance pour former des étudiants compétitifs sur le marché de l’emploi. Après avoir passé en revue les activités de l’année écoulée, celle de durs labeurs, Brice SINSIN, le Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi, dans son allocution, a rappelé aux professeurs et enseignants la lourde tâche qui leur incombe et les défis qu’ils sont appelés à relever  pour que l’année soit fructueuse.  Pour le Recteur, c’est une priorité de revoir la manière de dispenser  les cours en la réajustant aux réalités actuelles de l’éducation. Il s’agit de l’amélioration et de la mise en œuvre effective du système LMD dans toutes les grandes Facultés qui avaient du mal à l’insérer dans leur programme lors de la première année de la généralisation. A la suite du Recteur, le professeur BOKOSSA, représentant le personnel enseignant de l’UAC, a déclaré que pour la bonne marche de la formation universitaire, il faudra « plus d’amphithéâtres, plus de salles de cours, plus de salles de Travaux Pratiques, une amélioration des conditions de vie et de travail du personnel administratif et une énergie constante ». C’est le professeur Joseph HOUNHOUIGAN, Doyen de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’Université d’Abomey-Calavi qui a présenté la conférence inaugurale de cette rentrée universitaire sur le thème « Sécurité alimentaire, du cadre théorique à l’action : quel rôle pour les universités ? ». Une communication très informative qui peint avec forts détails les diverses contributions que les universités devraient apporter pour assurer la sécurité alimentaire de leurs communautés. La cérémonie de cette rentrée a aussi été marquée par un acte significatif : la signature du protocole d’accord de coopération université publique/universités privées.
L’UAC et les universités privées concrétisent leurs  efforts de mutualisation des ressources
En procédant à la signature d’un accord de coopération, l’Université d’Abomey-Calavi et les universités privées d’enseignements supérieurs se donnent les mains pour conjuguer leurs efforts  afin de contribuer à la formation de ressources humaines de qualité dans toutes les universités du Bénin, aussi bien publiques que privées. Ce vœu longtemps exprimé par les Chefs d’Etats de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) est devenu totalement effectif dès cette rentrée universitaire 2013-2014 à travers cette signature d’accord de partenariat. De la lecture du document, objet de l’accord, il est prévu entre autres, la mobilisation des enseignants et des apprenants, l’échange de technologie, l’organisation conjointe de symposium et la certification des apprentissages dans les établissements privés. Le Recteur Brice SINSIN reste convaincu que « la mission de développement du Bénin incombe aussi bien aux universités publiques que privées et la nécessité de l’union entre le public et le privé n’est plus à démontrer ». Le PDG du Groupe Cerco, Alain Capo Chichi, président de l’Association des Etablissements Privés d’Enseignements Supérieurs (ADEPES), a, en ce qui le concerne, salué le leadership du Recteur dont le souhait est de sceller un véritable mariage entre l’UAC et les universités privées du Bénin. Et ce souhait passe aussi par la qualité de l’enseignement dispensé à l’université dont la forme tient à cœur au Recteur qui veut une effectivité du système LMD dans toutes les Facultés et Ecoles de l’UAC.
L’envol du LMD 
Pour Brice SINSIN, la nouvelle année académique « sera celle de la dynamisation de la mise en œuvre du LMD. Plus aucun établissement ne doit être pris à défaut et tous les diplômes délivrés doivent changer de dénominations conformément aux textes en vigueur. La professionnalisation des offres de formations doit être de mise et nous devons faire de la Licence, un point de repère non seulement pour les étudiants et pour les employeurs, mais également pour leurs familles. Je ne vais pas le nier, la réussite du LMD dans notre contexte est une gageure ».
Environ 22.000 étudiants attendus, 43 amphithéâtres disponibles contre un besoin de 440
Connue pour ses effectifs pléthoriques, l’Université d’Abomey-Calavi s’apprête à accueillir environ 22.000 étudiants. En effet, l’UAC reçoit chaque année environ les 2/3 des admis au Baccalauréat. Or le BAC béninois a donné pour cette édition environ 33.000 admis. Théoriquement donc, l’UAC attend de recevoir autour de 22.000 apprenants ou peut-être plus si l’on ajoute les facteurs de morosité économique qui pousseront les uns et les autres vers la gratuité de l’enseignement supérieur public. Or, dans son éditorial du 17 Septembre 2013 pour le compte du mensuel d’information de l’UAC, « UAC Info », le Pr Brice SINSIN écrivait ceci : « la gestion des flux à court terme reste (…) un souci. Selon les normes du Réseau pour l’Excellence de l’Enseignement Supérieur en Afrique de l’Ouest (REESAO), les groupes pédagogiques ne doivent pas compter plus de 200 apprenants dans le cadre du LMD. De ce point de vue, l’estimation des besoins en infrastructures pédagogiques de notre université sur la base de 95.000 étudiants, serait de 440 amphithéâtres contre les 43 actuellement disponibles, soit un besoin incommensurable de 397 amphis. La gestion efficiente et optimale des flux d’étudiants, à court et moyen terme, nécessite donc l’augmentation des capacités d’accueil de l’UAC. C’est une urgence ».
Partant de ces chiffres avancés par l’autorité rectorale et sachant qu’au soir de la clôture des inscriptions, on aura encore 22.000 étudiants de plus, il est réellement urgent d’agir très rapidement pour parer au plus pressé. C’est en cela que certaines Facultés visitées ont parlé des énormes défis qui les attendent pour cette rentrée.
Les Doyens de Facultés face à de nombreux défis
Nombreux défis attendent les Doyens de Facultés pour cette rentrée universitaires 2013-2014
Les défis qui attendent la FLASH pour la rentrée 2013-2014
Selon le Dr Odile DOSSOU, vice-doyenne de la FLASH, pour l’année qui s’ouvre, les défis de la Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines sont nombreux. Voici son message :
« Sur le plan pédagogique, des 22.000 attendus à l’inscription, au moins la moitié viendra à la FLASH. Comment gérer cet effectif. Comment allons-nous gérer ce flux qui ne fait qu’augmenter et en même temps, le recrutement des enseignants ne suit pas ? Comment allons-nous faire pour respecter un temps soit peu le ratio exigé sur le plan international à savoir un enseignant pour 25 étudiants ? Nous sommes ici à un enseignant pour plus de 400 étudiants. Voilà nos défis. En première année, il y a 8.000 étudiants alors que même pour les cours pédagogiques à grand effectif, il faut au plus 1.500 étudiants. Cela pose le problème d’énergie physique  que l’enseignant doit dépenser pour couvrir ces groupes. Pour les TD, un groupe de TD = 25 étudiants. Quand ils sont 8.000 étudiants en 1ère année, combien de moniteurs et d’assistants il faudra pour couvrir ce nombre ?  La logistique qui accompagne tout çà, c’est toujours les salles qui ne sont pas élastiques. Le Recteur fait ce qu’il peut. Il a même lancé un téléthon pour qu’on puisse en construire. Il a dynamisé la coopération entre les universités et même au-delà du Bénin. On nous construit des salles mais le problème demeure et perdure. Quand est-ce qu’on n’aura plus de ‘conflits’ entre la FLASH et la FAST à cause de salles ? Un professeur entre et l’autre est à la porte réclamant la salle avec ses étudiants. Quand est-ce qu’on va finir de squatter les salles ? Il y a un centre qui a été créé pour la mutualisation des salles. Je sais ce dont mon collègue ABOU souffre là-bas parce que c’est tous les jours, les problèmes des salles. Sur un an  quand vous gérez çà, vous êtes fatigué et maintenant, les examens. Pour organiser un examen, vous voyez l’Office du BAC, vous voyez ce qu’il faut comme énergie, comme moyens financiers et comme personnel pour faire un examen…, c’est presque la même chose ici. 55.000 étudiants à gérer en deux semaines, surveillants de qualité à sélectionner, salles à mobiliser… si la FLASH a examen, plus personne ne fait cours à l’université. On prend toutes les salles de l’université : département de géographie, d’anglais, de sociologie, de philosophie…, tout est bloqué. Il faut mobiliser la matière, les ressources humaines. J’ai réduit, au lieu de faire un ratio de 01 surveillant pour 25 étudiants, j’ai fait un ratio pour 40 étudiants ; et avec un surveillant pour 40 étudiants, je me suis retrouvée à 175 surveillants en dehors des superviseurs du rectorat. Venir à bout de ce monde qui ne cesse de s’accroître, c’est fatiguant. Et ça, ce n’est que les examens. Et il y a des gens qui font une double inscription et ils choisissent d’aller pour la première ou pour la deuxième inscription et ils laissent l’autre ; vous achetez du papier, vous multipliez les épreuves et vous vous attendez à 8.000 étudiants et vous retrouvez 4.000 étudiants… Or les ressources ne suffisent déjà pas pour gérer, ça ne peut pas continuer comme cela. En dehors de cela, il y a les moyens. Nous devons aller au cours à Porto-Novo par exemple et nous avons un bus et ce bus ne va plus, c’est complètement amorti. Nous devons prendre nos propres moyens pour aller donner cours à Adjarra parce que c’est nous qui alimentons Adjarra.
Il y a la question de l’énergie électrique ; on ne peut pas faire cours quand on commence par couper l’énergie à tous azimuts. Enfin, il faut effectivement la mise en œuvre du LMD. Voilà les défis que nous allons, main dans la main, relever pour cette année qui commence ».
Si la FLASH doit gérer les flux d’étudiants et les problèmes de salles, la FSA n’en est pas épargnée. Par contre pour le système LMD, la Faculté des  Sciences Agronomiques reste une référence. Le Doyen parle des secrets de cette réussite du LMD (Licence-Master-Doctorat) à la FSA.
La FSA face aux défis de la rentrée 2013-2014
Ces défis ont surtout rapport à la gestion du flux d’étudiants qui s’inscrivent à la FSA après leur admission au Baccalauréat. Beaucoup d’admis veulent venir à la FSA alors que la Faculté n’a pas les capacités encore moins les infrastructures suffisantes pour les accueillir. « Nous n’avons pas assez d’amphi (salles de cours) pour loger tous les étudiants qui aspirent à se faire former à la FSA », a déclaré le Doyen Joseph HOUNHOUIGAN. L’autre défi est relatif à l’insuffisance de professeurs. Ils sont en nombre limité et il faille impérativement recruter davantage pour répondre un tant soit peu au besoin de professeurs qualifiés. « C’est le lieu de demander aux autorités en charge de l’éducation au niveau de l’enseignement supérieur de s’intéresser davantage à nous aux fins d’alléger nos difficultés », a-t-il indiqué.
En ce qui concerne l’effectivité du LMD, la FSA n’a pas de problèmes, bien au contraire, elle inspire les autres Facultés. Pour le professeur HOUNHOUIGAN, le secret de la FSA en tant que pionnier dans le système LMD à l’UAC repose essentiellement sur la géniale idée des pères fondateurs de cette Faculté de faire former leurs étudiants à la fois dans le système universitaire francophone, puis anglophone. Tous les étudiants de la FSA ayant eu l’opportunité de voyager dans le cadre de leur formation ou étant restés au pays, sont formés au double plan linguistique. Pour l’enseignant de la FSA, il n’y a pas différence entre l’utilisation du français et de l’anglais. Et la grande partie du corps enseignant a évolué dans le système LMD, ce qui fait que le système leur est très familier. Etant donné que le système LMD est très connu du système anglophone, il n’est plus alors un mythe pour les étudiants de la FSA qui s’en sortent bien. Puisque ayant déjà connaissances du fonctionnement de ce système de formation de type nouveau. Il convient de retenir que le système LMD (Licence-Master-Doctorat) est une approche de formation et d’évaluation fondée sur la compétence. Et ce système qui semble nouveau dans le système d’étude francophone a beaucoup évolué et a montré, à suffisance, ses performances dans le système anglophone. Le système LMD se repose sur des unités d’enseignement qui complètent la formation de l’apprenant et de l’étudiant et fait de lui un personnage formé, capable d’intervenir dans des domaines clés. Chaque unité d’enseignement est une compétence que l’apprenant qui la valide peut monnayer partout dans le monde. C’est l’un des grands avantages de ce système qui assure la mobilité des diplômes.  La FSA dont la prouesse dans la mise en œuvre de ce système de formation n’est plus à démontrer, est arrivée à adapter ces unités d’enseignement aux besoins du marché. C’est-à-dire qu’à priori, un travail de sondage des offres d’emploi est fait au niveau de la Faculté aux fins d’arrimer les unités d’enseignement à ces besoins pour permettre aux étudiants formés d’être en même temps consommés sur le marché de l’emploi.
L’Université d’Abomey Calavi, en dehors des Facultés qui la composent, héberge aussi des Ecoles de haute facture comme la Chair UNESCO, qui est un centre d’excellence. Le titulaire de cette Chair a, volontiers, accepté de nous parler du principal défi de son école pour cette rentrée universitaire à savoir le LMD.
 Le principal défi de la  Chair UNESCO  pour la rentrée 2013-2014
A en croire le titulaire de la Chair UNESCO, Noël GBAGUIDI, les énergies doivent être mobilisées pour le basculement dans le système LMD. « Nous travaillons surtout pour intégrer le système LMD.  Nous sommes à pied d’œuvre pour transformer toutes nos formations doctorales en LMD. Ce n’est pas facile. Il y a trois semaine, nous avons validé notre DEA qui est désormais un vrai master recherche. Très prochainement nous allons valider le DESS. Le LMD est une question de modèle que beaucoup de Béninois, ayant évolué dans  le modèle français, ne connaissent pas. Moi, j’ai fait le modèle LMD et pour la petite histoire, j’ai pris 4 ans pour me faire reconnaitre mon doctorat. Les Béninois n’ont pas reconnu mon doctorat lorsque je suis rentré au pays », a-t-il précisé comme pour renseigner sur son défi majeur.  « Aujourd’hui, on me dit qu’il faut faire le système LMD sinon, c’est la catastrophe. Il y a 20 ans, on me disait que ça ne valait rien. Aujourd’hui on me dit que c’est çà ou rien. Ainsi va la vie. Le système est exigeant et contraignant. Il faut faire très attention pour que les étudiants et auditeurs soient très bien informés. Parce que le système est aussi bien performant que perturbateur. Vous avez la moyenne partout sinon vous ne passez pas. Vous pouvez avoir des 17 et 18 dans toutes les matières et si vous n’avez pas les 9 ou 10 exigés dans une ou deux matières, vous ne passez pas.  Les modèles sont différents, on peut dire que vous passez en classe supérieure et vous reprenez les matières en question. On peut dire que nous allons faire des blocs. Nous n’avons pas encore suffisamment pensé à notre système ici. Pour quelqu’un qui est en linguistique anglaise par exemple, on peut faire par exemple le bloc langue et civilisation américaine. Autour de ce bloc, on peut faire oral américain, écrit américain, économie américaine, et ça fait 3 matières. Dans ces 3 matières, on peut compenser. Mais on ne peut pas compenser entre civilisation américaine et civilisation anglaise par exemple. Donc, il y a des choix à faire, puis il y a à transformer les matières, informer les enseignants et maintenant sensibiliser les étudiants. Vous avez appris récemment  qu’au GABON, il y a eu le feu. Ils sont toujours en grève actuellement contre le LMD. Ils ont voulu séquestrer le Doyen qui est, du reste, un ami. Nous étions dans un modèle avec une certaine compréhension et on change tout. Il faut qu’on trouve le bon modèle, pas à la carte, mais général pour tout le monde », a-t-il poursuivi. Donc ce sont ces exigences en plus du fait que le LMD exige des enseignants plus de présence.  Le LMD demande aux étudiants plus de travail parce qu’ils ont un temps pour eux-mêmes qui est comptabilisé dans le temps de la formation. Tout est question d’explication. Mais il y a un avantage énorme, c’est que vous pouvez voyager facilement avec vos diplômes. La mobilité est presque mondiale avec le système LMD.
Une année universitaire réussie dépend aussi de la bonne santé du COUS. Les défis de l’UAC ne sont donc pas l’apanage des Facultés. Au niveau du Centre des Œuvres Universitaires et Sociales, la Directrice Eléonore LADEKAN YAYI, essaie de redonner espoir aux étudiants dont les conditions sociales sont intimement liées à leur réussite universitaire.
Du Centre des Œuvres Universitaires et Sociales d’Abomey-Calavi
Après son plaidoyer en direction de l’Assemblée Nationale pour le renforcement du parc de transport en commun des étudiants, la D/COUS a rencontré le ministre de la santé, le docteur Akoko Kindé GAZARD pour solliciter des actions sanitaires en faveur de la  communauté universitaire. Elle a surtout plaidé pour une infirmerie digne de ce nom et aussi des campagnes de vaccination. Il faut ajouter au plan sanitaire que le Recteur a déclaré l’année 2013-2014, l’année des étudiants. En effet, il a été décidé de transformer  l’anecdotique visite médicale en assurance-santé avec le concours des banques. Plus question donc pour les étudiants de s’inquiéter  lorsqu’ils tombent malade ou sont victimes d’un accident.  Par ailleurs, la D/COUS, dans son dynamisme, a attiré la sympathie de la loterie nationale qui se dit prête à nouer un  partenariat gagnant-gagnant avec le COUS-Ac. Un partenariat qui doit évoluer, selon la D/COUS, dans le sens de l’accompagnement des réformes infrastructurelles, socioculturelles et surtout de l’insertion des étudiants en fin de formation.  Eléonore LADEKAN YAYI a aussi bénéficié de la visite du ministre d’Etat, François ABIOLA, qui est allé galvaniser la troupe comme une note de reconnaissance aux actions de la direction.
Au demeurant, on note que toutes les parties prenantes de l’Université d’Abomey-Calavi sont dans la disposition d’apporter leur pierre à la réussite de l’année universitaire en dépit des nombreux obstacles visibles et invisibles à aplanir.
La Rédaction
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