Après les acteurs de base du secteur de l’éducation, l’équipe rédactionnelle de Educ’Action a tendu son micro aux différentes structures et organisations, tant étatiques que non étatiques, pour qu’elles donnent leurs appréciations du travail fait par le média dans le secteur de l’éducation. Une occasion pour elles de formuler des commentaires qui permettront au groupe de presse de progresser.
Les partenaires de l’éducation ne sont pas restés en marge de la page d’appréciations ouverte depuis la semaine écoulée par le média spécialisé dans les questions éducatives au Bénin, en Afrique et dans le monde. Eux aussi ont exprimé leur vision du travail que fait cet organe de presse consacré à la mission d’éduquer. C’est le cas du Réseau National des Opérateurs privés pour la Promotion de l’Alphabétisation et des Langues (RéNOPAL), à travers son secrétaire exécutif Franck Arnauld Sèdjro. « Educ’Action est un journal qui porte bien son nom parce qu’au cours de l’année 2021, il fait partie des journaux qui sont venus combler un vide. Il n’y avait pas de journaux qui parlent spécifiquement de l’éducation. Cela nous a permis, d’abord, de suivre régulièrement l’information liée à l’éducation du pays et aussi des questions d’alphabétisation. Les différents titres que nous avons eus au cours de l’année, sont non seulement des titres qui informent, éduquent mais qui éveillent également la conscience des parents d’élèves et des usagers sur les réalités actuelles de notre école », a-t-il souligné.
Le secrétaire exécutif du RéNOPAL salue, par ailleurs, la qualité des productions exprimées dans différents genres journalistiques et témoigne sans ambages : « Vous n’êtes pas sans savoir que notre système éducatif est en pleine réforme, et Educ’Action, au cours de l’année, a recensé ces différentes réformes au fur et à mesure qu’elles se produisent en termes de constats, d’analyses et cela alimentait la réflexion à notre niveau au point où, lorsque, pendant une semaine, on oublie de lire le journal Educ’Action, on se surprend à se demander s’il n’y a pas d’informations au niveau du journal » .
Pour Hervé Kinha, Coordonnateur de la Coalition Béninoise des Organisations pour l’Education Pour Tous (CBO-EPT), Educ’Action est un véritable outil de communication dans le domaine de l’éducation. « Je crois qu’aujourd’hui, beaucoup de personnes aiment lire Educ’Action parce que, quand on lit les sujets abordés dans ses parutions, on sent qu’il y a un véritable travail d’investigation en amont. Ce ne sont pas des articles chiffons comme dans d’autres journaux aux titres ronflants, et quand tu commences à lire l’article, tu te rends compte que c’est vide », a-t-il laissé entendre, soulignant ainsi la différence entre Educ’Action et d’autres publications. Se démarquant ainsi des autres médias, Educ’Action, à travers des critiques constructives, contribue à la réflexion de nombreux acteurs du secteur. Le coordonnateur de la CBO-EPT, Hervé Kinha en est un. En matière d’éducation, précise-t-il, Educ’Action est un véritable moyen de communication de masse. « Il y a autre chose qui me plaît dans Educ’Action, c’est de critiquer un peu le système et de proposer des approches de solutions à travers des consultations des principaux acteurs et même des analyses personnelles des membres du staff de Educ’Action », a-t-il confié.
Educ’Action, le partenaire idéal pour des actions éducatives
Wilfried Aimé Tchibozo gère le Village d’Enfants SOS Abomey-Calavi. Selon lui, « Educ’Action ne manque pas de participer réellement au relais pour une meilleure connaissance des informations sur le Village d’Enfants SOS Abomey-Calavi. Educ’Action couvre nos activités et participe, comme nous le souhaitons, à nos manifestations pour une meilleure connaissance des activités de protection que mène SOS Village d’Enfants au Bénin ».
Il ajoute : « Nous pouvons dire que nous ne regrettons pas d’avoir établi ce partenariat avec Educ’Action et nous pensons que nous avons des choses à faire ensemble. Ce partenariat servira l’intérêt de tous les enfants du Bénin qu’il faut, à notre sens, réellement soutenir et protéger ». Même son de cloche du côté de Adjimal Adjassa, responsable marketing et vente de la société MyBeatus qui renchérit : « Educ’Action est un acteur très important qui nous a accompagnés dans beaucoup de projets en direction des écoles et a permis de faire la lumière sur ce que nous faisons comme activités et services. Educ’Action dans le secteur éducatif, c’est un acteur très important et nous pensons qu’il joue un rôle spécial dans ce secteur. »
Dans l’enseignement supérieur, le Fonds National de la Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique (FNRSIT) œuvre pour le financement des activités de recherches. Au contact de l’information et des services de Educ’Action, les cadres du Fonds ont aussi donné leur appréciation sur le travail accompli par l’hebdomadaire de Gbèdjromèdé. Honorat Satoguina, directeur du FNRSIT, salue ainsi les efforts de la rédaction. « En tant que média spécialisé, Educ’Action est le bienvenu. Un média de ce type manquait dans le paysage. Donc, Educ’Action vient combler un vide et propose un espace où les sujets spécifiques qui touchent à l’éducation sont abordés avec les avis des experts du domaine. Cela permet d’attirer l’attention des politiques sur ce qu’on n’aurait pas dû avoir plus tôt dans le secteur. Cela permet aussi d’accélérer les processus de correction ».
La qualité des personnes ressources approchées par l’organe de presse lors de ses investigations donne aussi de la valeur aux productions. « Du fait que les autorités sont désormais averties et informées par des gens qui ne sont pas forcément partisans, cela permet de voir les problèmes avec beaucoup plus d’objectivité et des yeux avertis. Je crois que cela aide tous les acteurs du secteur de l’éducation. C’est une belle initiative qui est à encourager », lâche le directeur du FNRSIT.
Des initiatives du média Educ’Action et la qualité de ses journalistes
Au-delà des productions de fond, Educ’Action organise également des activités pour susciter l’amour de la langue française et la vulgarisation des langues nationales. Franck Arnauld Sèdjro, secrétaire exécutif du RéNOPAL, a gardé de bons souvenirs qu’il ne manque pas de rappeler. « Je me rappelle également des différents concours qu’organise le journal. Ce sont des canaux qui permettent au journal de valoriser nos langues locales. Pour ma part, Educ’Action est sur la bonne voie. Tout citoyen épris de paix et du devenir de nos enfants, devrait soutenir ce que Educ’Action est en train de faire », fait-il-savoir avant d’ajouter : « Si le journal n’avait pas existé, il fallait le créer, surtout en 2021 qui a été une année riche en matière d’information au niveau de l’éducation dans notre pays. »
Hervé Kinha, coordonnateur de la CBO-EPT, n’est pas allé par quatre chemin pour saluer le rôle du groupe de presse Educ’Action et la qualité des journalistes qui y travaillent. « Educ’Action contribue à l’amélioration des performances du système éducatif. Donc pour moi, ce média est un véritable outil de communication dans le domaine de l’éducation et je pense que ses journalistes se sont bien spécialisés dans le domaine de l’éducation », a-t-il dit pour décerner un satisfecit au média et à son personnel.
Réalisation : La Rédaction